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Oirane des Catholiques de Lingus française. du Nofd-Ouest -
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TALK AUCGLAIR, O.M.L Dire == — mn ee rene oremmmarureens se Année | Se 2-705 PRINCE-ALBERT, SASK., Mercredi 14 janvier 1925
LR APOTRES
mous dit un anot déjà du b haussoié, CE) | NE que le lecleur soit tn lettré au goût difficile, ou un une du peuple d'instruction ordinaire, l'un et l'autre après avoir on me ces pages 1e peuvent manquer de dire: voilà nn beau livre. PE ue le ajet traité? Lstece le charme du stylo fait de simplicité u de distinction? Est-etfle’ dramatique ct le contraste de vies subli- que un eudre de’pauvrbté et de misère? Est-ce le frémissement ni donne toujours au côbur le beauté du dévouement qui s'ignore et te d'un coup d'iilé "jusqu'à l'héroïsme ?2— Cest tout ‘cela sans
Er dout DU “En nos temps de’ sééplicisme, de niâtérialisme et, d'irvéligion,
ous vivons dns Je surnal ul, et nous fre le savons pas”, écrit M. 4 Veuillot dans la préface; à co-livre :.. La Prôvidence, hetr- É ecnent, nous prehdht Un pitié, shscite quelquefois de modernes Éhouvèeres dont les chansoils ‘de. gokte éveillent- notre attention. Les Eure el «uraturels exploits dont. ils furent .chlouis nous arrivent des ailes de leurs récits, émus et pittoresques... Is trouvent le che- Ein de nor coeurs eh pusslnt par nos curiosités. Le Père Duchaus- Bis de la Congrégation dés Oblats'de Marie Immaculéc; est l’un de «Leurs et dé CCS poiles”. Ve . Se L'apétr. inconnu, C'est le Frère coadjutsur,. Ale rigucur, je‘cohiprends le.dévouemént du prêtre, mais ce- ni du frère, est pot mob'un mystère” disait'un protestant ache- eur de fourrures dans’ les régions del’Octan Glicial
“Le livre de P. Duchadssoïiss'attuche à expliquer ce mystère tout mplement en le faisait vevivie SOUS OS VERX.. |
" Etet une histoiré-dé beauté. Neuf-chapitres, qui sont autant ktbleaux, en paitagent les: 250 pages qui nous montrent le frère religieux et auissionnairé dus <es”lifférentes fonctions, de naviga- eur, chet d'équipages, bâtisseur, agriculteur, pêcheur, ete.
Les fonctions sont des plus hutables-et toujours dés plus pénibles, anis quels bounnes de dévouement-joyeux,'de vourage héroïque et Ulevertu aduirable que -ces huinbles ‘frères! —.
:.Peprit jouisseur ct inercantile dusièle-est un souffle mauvais qui prse sur tous les peuples. 1 dessèéhe toût. 11 eulaidit tout, Le Eulte de la piastre est devenu nne religion eruelle qui tue lu beauté, che bonheur, abrutit ses adeptts-énsattendant de les dévorer. 7 Notre peuple, encoreprofondément. catholique; est atteint com- me lus autres. Lorsque l'égoisme jouissenr et Vinférêt matériel cal- Éulent touts l'activité hunaine à laspiastre €'en cet fini des nobles sntiment. du dévonenient. de la charité, du patriotisme et finale- “ment de la religion "elleinfine, Que ce mal, ee culte du veau d’or
lutte idolatrie de Ja chair, envahissent toutes les âmes ei c'en sera Éini de kr civilisition. éhrélienno basée sur le sacrifice et le-dévoue- Een. LUC RE ee eee .. 1 Mai. Dieu mer PV -aencorede bellés mes qui‘eut ti autre idéal de vie que celti dé faire de l'argeut et de‘éerrépaître des grossiè- 4 juuicouces qui faisaient Aout Je triste apanage. du. paganisme. | Ent peut-ètre leut, SeutiOi ot il pi
. ne ‘ “u ct bon livre que vient de pu-
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Fe à ces Gmies-lr-étilout que le.beau livre “Apôtres inconnus” eu du bit Elles y. tiouvetont l'atmüsphère qui leur: convient, la laivre qu'elles cherchent. | © NS tt Nos souhaiterions doñe que ce bèeur livre pébètre dans toutes] Lplus qu'un beau livre, C'est un bon livre, nn Aux uùs ils inspirera le désir de la- atique plus -par-
Es famille, cor c'es Eure qui fera du bien à tous. Épestoltt dans la vocation religieuse, aux autres à pr Eee l'esprit chrétien au milieu du monde. 7 2. io Lente qu'une. partie du chumb d'action de l'epôtre inconnu uns revèle Le Jivre-du P. Duchuussois, :'A'ehaquè page où cons’
Été que ce < humbles coudjuteurs de FEvangile sont atécessaires pour|
Esontentr Le ministère du.piôtre dans les missions, si pénibles à la nu-! ) Et ‘cela constittie un appel émouvant aux!
tue, de Extreme Nord. at elles qui se sentent capables‘ d'un évuruge héfoique avec dl tte de Dieu. { ‘ | D : ; ‘ 3 : EU Mi 6 a d'autres champs d'action, moins pénibles peut-être Et Curie potuts de vue."uù ces bonnes volontés ne sont pas moins jetsres ef où celles pourraient exercer leui zèle d'apostolat incon-
Mavee Len moins defruit, £%4
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1 a" Dm n ee . , : oo Fe ‘ u., u fi # à ICE des champs dattiouscuvore inexploit(s. qui ailleur ‘ <a ete ouriers érangéliques.pour:produiresde-hallesaunissons. RU Du permettrons: d'ébridiquériunt celui dé Ta presse GE ETES lue. ra SU Re DRE OH
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Quel bicu immense H'accompliraient pas de bons. frères cgädju-
4 : , Ua ‘ se qe ne se xic'à la-composhion “et à, Fimpression
US qui emssacreraient Jeu Us buns jonnaux!. :
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| presse dtliolique.. 7 ue Disu cnvoie d'âäbündauts ouvriers dis # la É eon CA arnde ctit x a-béanéoup dé bien'à faire qui ne se fait pas En: Qi ns à pus d’ouvrierst Qu'il donne uu inonde de-nom- EAUX potes iconnus. 5 Do TT
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És ra 15 sous francu, * ‘
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LeF. O. M. I.
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Apôtres Ineonnus.—Br. P. Duchaüssois, “OM "250. pages, in oclu- M0 illustré. En vente äu Scholasticat des Oblats, Edmonton, Alta. Prix
: e senation re.t de.son: diocèse. La: congrégation 3 ki congrégation re {qu'il vient de fonder portera ce Ê. igieuse chiffre à‘ quinze. Ù
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_— TS en L'organisation et la“coordina- tion des oouvres catholiques
Prul'hognn Û | 1 e née Albert at i ctuel}e me
—Pour Je mois. de janvier, l'in- tention spéciale, approuvée et bénie par Notre Saint-Père le Pape, et qui est proposée aux ‘Suffrages des'as- sociés : de: l'Apostolat de la Prière, c'est ““Porganisation et’ la coordina- tion des'.oeuvres catholiques”, Voi- & une fin pour laquelle tous les çu- tholiques véritables ne -manqueront pas d’implerer le Ciel avec une par- ticulièére lerveur.. Car il importe souverainement: que 1è$ Bataillons de l’armée du Christ. soient forte- ment. organisés .et disciplinés aver ve efficacité parfaite,-à l'heure où il: semblé que lennemi de Jésus ct -de: l'homme, Je Prince des ténèbres “mobilise. ses. :phalanges pour un coup décisif: à. l’assaut. den.
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elle, qu'it recommandée corines : cola des caines. de-St-Joseph Ni se Consaerent- spécialement au € des hôpitaux, des. instituts Sourds-muets, és orphelinats,
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NO personnes dévonées, qui se cu les premières consacrées À Grp u tre habitent-présentement a qe in ’Otterburn, * Manito- fl es Ont attendu danssle trac "4 briére:la décision de Ro-
à, Mer Prid'homme avait déià : de: jut de son. épiscopat, de. tit à quatorze le noin- “ Congrésations religieuses” . i - Ft
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LES NOUVELLES - CHEZ NOUS ET AILLEURS |
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tres, nos Écoles se dispose à remplir les vacances! portent que le Dr 4, NS: Huff, prin- au Sénat, il faut ui rappeler par Hal cipal de Pécole Norme de cette voix de nos journaux que les draits| ville, s'est attaqué ‘fortement au de, Félément français ne ‘devront! curriculum d'études dans les écoles pas être méconnus ‘et sacrifiés cet- {de la province, . te fois encore, D'après le compte réndu de son Les positions que nous tenons à! discours devant les membres du la législature du pays sont déjà par! Rotary Club, M Huff en. aurait trop faibles pour que nous songions! principalement contrée, l’inflexibi. à en abandonner quelqu'une, Gar-|lité du programime des écoles, on dons avec.un soin jaloux la” repré-! si l’on veut, Penseignerhent des mé- sentation qui nous est dûe à al mes matières,, au même degré, à chambre haute, ct’pour cela ne ces-ltons les enfants de queltues talents sons de réclamer, de faire con! qu'ils soient, “Entre ‘1 seience de prendre que nous Y Aienons, | lPédueation et la pratique actuelle,: Libre à I provinee de Québec de | 7 & un abime”, dit M. Huff.
faire cadeau de lun de ses comtés! - 1 appelle les elasseside nos éco- à la province de l'Alberta pour les|les, des elasses-bataiflons, où les beaux veüx de M. King, «x dé-lenfants de grande. ‘intelligence, pens de la représentation française! ceux qui en ont: juste assez, et mé
: Mort de Mgr Gaire
Dans upe cireulaire à son clergé NS. G. Mgr Mathieu, écrit à la date du + janvicr: “Le diocèse vient de perdre unit de ses prètres les plus dévoués et les plus estimés, Une mort impré- vue nons «a enlevé ce chèr Mr Gui re, un de ces prêtres dont PEsprit Saint fait Péloge quand il dit: “Et dies pleni invenientur in eis”. Cet- te belle àme en brisant san vnvelap- pe, comme Mndelcine son vase de parfum sur les pieds de Jésus, lais- sers un parfum dont le diocèse res- tera lougtemps embaumé, “Et do mus completa est ex odore unguen- i
Mans M Gaire, P. D, curé de Wauchope, Sask,, était Fun des prè- tres les plus anciens et les plus mé- ritants. du diocèse de Régina.
. Né près de Strasboutszg en lran- ce, en 1853 il avait été ordonné en 1878. Aprés 10 années de ministère en France, il Ctait venu au Canada on 1888 ct avait mis ses services à la disposition de Mgr Taché, avche- véque do St-Bonifaec, .
On lui confiu Ia desserte des mis- sions de l'ouest du Manitoba. C'est la qu'il fonda la paroisse de Grande Clairiére et il en fit le centre de ses activités.
Plus tard, en 1903, à da demande de Mgr Langevin, il vint se fixer çn-
eo ae an rte An songe not mme nee ne à
Prince-Albert, Bash. Abonnement:
n an, Canada.....,.. 62.00 ci Etats-Unis ...... 02.50 * * Europe cesse, 93.00. 1f
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NOTRE LANGUE
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” Chez les Ecrivains
sou compte une suggestion. de Baudrilart en
Mie « . formutlant le -voeu se à la Semaine des écri-, de voir s'établir entre les journa-
question de la bonne pres |
listes catholiques des divers pays du monde des relations religieuses,
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vains catholiques .
Paris, Lu-semaine des éori- vains catholiques vient d'uvoir licu à Paris,
On y a étudié surtout Le rôle que! devront remplir les écrivains en- tholiques dans la presse,
Le premier rapporteur exatmina surtout la situation de fait de la grande Presse parisienne envisagée au point de vue catholique. H:dé- nonçea le redoutable danger que court l'opinion fr. s aise pervertic par cetle presse, détournéc des ver- lus religiouses, à tout le moins pri- vée d'une dacirine, ct examina ce que Les écrivains eatholiques peur- vent faire dans Pordre pratique pour remèêdier à une telle situation,
On discuta ensuite lu question de savoir si un catholique peut colla., borer à un journal dit de grande
Le Canadu représenté. ? Puis des journalistés rhollaidais, canadiens, polonals, ‘vinrent ‘dire leu qu'ils pensent de la prose, Gn- tholique française et ce qu'est Ja presse catholique chez eux:
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Attitude à: modifier
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Parlant du fouemalisme à lPétran- ger, Mgr Baudriljart, demanda. aux écrivains catholiques dé” s'emplo- ver à moditioe l'attitude.des "Fran- enis, en particulier ‘des intellec- tels francais, vis-vis des étiyn- pers, plus spécialement dé ceux qui viennent en Franec, En effet, non sonlomeñt Les Français montrent fort peu de curiosité de ce .qui.he fuit hors de leurs frontières, én. information: Le KR, . du Passage fpartieulior sur Je terrain entholi- remarqua justement qu'en celte ma- que, mais quand on Viurt les en ne tière certaines distinetions s’hupo- former, ls n'ont méme pus la cotifs sent, Si par sa notorièlé, un &, loisie d'accuoillir nvec ‘quelque crtvain risque de servir In propu-{ empresienent le visitéur qui dr- “#ande du journal. nont il trouve rive, cusseut-ils tout 'fh a prendre
ébmeont du français. dons les
el catholique an parlement du pays! La minorité française et catholique des-provinces de l'Ouest nc saurait aller jusqu’à cet excès de complai- sace dans limitation des électeurs du comté d'Argenteuil, La mort lui à ravi duns Jes rangs des séna- leurs son unique représentant pour l'Alberta, et elle veut que le regvet- té M. Côté soil remplacé par l'un des siens, ‘ C'est une position qui nous re- vient au Sénat de notre pays, Les hümmes ne nous manquent pas pour l'occuper honorablement: M. King a que l'embarras du choix parmi les fidèles adeptes de son parti dâus la province-socur, Nos compatriotes de PAlberla semblent, Sétre ralliés en nombre suffisant -atiour de’ la candidature de M Prosper Lessard. Quelque soit d'ailleurs lhonmme de leur choix, cet homane devient Le nôtre
lu de a population ‘française de l'Oucët, toutes nos: voix .lui sont ac- ‘quisés, 6t.nos forces: s'uviront à celles de nos frères albertains pour le porter jusqu'au siège quil doit occuper en notre noin an Sénat ci- nadien: :. PL ET
. Phonorable M, PE, Less, ve- nu'diuis" l'Ouest en 1898 àIa fin de ‘ses études au Mont St-Louis de Montréal, s’y est toujours occupé de politique, et x a'joué mème un rôle important -lorsqu'aprés, la for- mation des provinces actuélles il devint membre du conseil: des mi- nistres, Son jugement’ sûr et son grand sens des affaires ont fait he précier ses services daûst ln -diréc- tion de plusieurs entreprises finan- ciéres, Tout Ie bean -distriet de
St-Paut-des-Mètis Jui doit. certaine fc 7 Au’ cours dun
peut-être un peu lente à venir au t"Caunada, à Nation” le Star. de Sas | vre dans la mort il véc
katoon, se permel ectte:irévérence
ment une partie de Hi pruspérité,
goût de plusicurs, mais qui s’annon- cc brillante dans un avenir pro- chain. RC
Connaissance du pays ct de ses Hesoins, initiation préable aux af- foires publiques, expérience des mi- Jeux parlementaires, M. Lessard posséde, à coub sûr, autant de qua- ltés requises pour devenir un bon sénateur utile au Canada, que n’im- vorte.-quel autre aspirant: anglo-sa- xon.de sa‘provitice.: Sans coipter que” sa, nomination continuerait ‘fa tradition,’ crééé nas: Sir Wilfrid Laurier el respectée par $cs-sucees-
seups- dé réserve lun des siègés [-
de a chambre haute’ à élément fraffeais de l'Alberta,
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M. Dunning répond: à l’ ‘range Sentinel”
O.
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Régina. — AL le premier ministre Dunning a cru de son devoir de
répondre aux attaques que lOran-
“ge Sentinel, de Toronto, dans son
édition du 43 décembre, avait lur- cées. contre son gouvernement, au sujet de Penscignement du fran- eais dans les écoles de la. Saskal- chewan. x : Pa
Voici Ja lettre de M. Dunuing au rédacteur. de lu “Sentinel”:
“En première page de votfe nu- mévo du 13 décembre, il x à un article intitulé “Les Ecoles de la Süskatchewan”” “Vous ninvitez à faire une déchuwation énergique et chüre,,; an sujet de supposés ur- rangements pour l’enseignement obligatoice du frinçais dans les écoles’ de la Saskatchéwan, . Je vous demanderais donc, de publier. en premiére page ce qui suil : Premièrement, le gonvernement de la Saskatchewan ne se propose pis de rendre le français obligatoire: dans les ééoles dela Saskatchewan, Deuxièmement, aucune promesse n'a été faite par le gouvernement ou quelqu'un de ses ininistres, à l'effet que Penseignement du fran- cais deviendr:® obligatoire dans les écoles de la: Saskatchewan dans un-avenir quelconque; et troisié- imement, aueéune. organisation . ou individu h'a jomsis demandé au gouvernement dé la Saskatchewan de rendre obligatoire ‘ l’énseigne- [ écoles
atchewan?" : 1
dé Ta: Sask
du. fait qu'ils l'ont choisi: il est lé.
France, fait -remettre à l'honorable [
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Du français dans les fram-
Jorne Îles nouveaux
nant de, 2
me les buses sont t en mème temps. M. Duff doit vivre unipeu’dans la lune. Personne ne “cpnteste que l'idéal serait d’avoir: dans la même classe des élèves d'égalé force, sus- ecptibles d’attoindresle méme de- gré de développement -intellectuel, Mais M, le principal Gyblie que Ia nature n'a pas fait {oué les enfants ‘égaux sur ce point; ét:qu'il ne faut pas demander au gouvernement de wocçüper de: classifieation, on si l'on, veut, de.sélections fnpossibles. Le plus que F'on peut exiger de nos gouvernants, c'est d'adopter un programme d’études gbi convien- ne à la moyenne
ous cseignés
des intollisences des_enfants, Les esprits lrop fai. ‘bles pour Îe-suivre ne souf pas faits pour fréauenter-les écoles: 1c$° intelligences brillantes doivent v suppléer par des études personnel. les, vu par les cours: particuliers qui -se donnent dans "les maisons ! d'enscignement secondalre, L 2 S'il Y à quelque chogé ‘à repro-
-études de
nos écoles, c'est qu'il esé {rop-char- gé ol:quelque. pet au-d'ésus.de.la moyenne. ‘On. sacrific: l:solidité ‘au .nombre.des connaissances, T atdrail mieux pour nostenfants d'apprendre moins de choses, se- |sandaires ou d'agrément, et'de pos:
&
cher” au curriculum dé
séder à fond les rudimentst des sciences nécessaires à Li wic'mrils auront.-à vivre, en cst.de, lins- truction comme de la nourriture: qguelnues mets, substanticls ‘bien préparés, el. assimilables, valent “mieux que toutes. des confilu les sucreries du monde. te e 0-0 mme se 7
. ‘Education canadienne
ete
an DER
;
“article * intitulé
au sujet de notre :sYstème., d'écoles publiques: “Nous avons emprunté aux États-Unis un système “d'ins- truction publique ® qui renferme beaucoup de-ce qui es! hrütal, prus- sien ei stupide” Quand donc: au- rons-nous dans toutes les autres brovinces comme dans Québec, une véritable, éducation canadienne,
ge TT Te ii La lutte des Canadieris fran. - ‘-çaïs ‘en l'Ontario suscite’d : : : x sympathie en France
CL à: Pos ne À FrOtawas — L'Alliance Française, section: de ‘Guéret, dans Ia Creuse,
sénateur Belcourt, président de-EAs- ociation Canadicnne-françoise d'E- ducation de l'Ontuÿo, une gracien- se aHocation de quâtre cents franes “pour Êécole libre franco eatholi que de. Pembroke, Ont. .
ways d'Ottawa
Ottawa. “Sil vous plait entrez en avant” tele est l'inscription qui tramways dOt- fawa, Voici unc autre preuve, de Pefficacité, de Ja campagne en. fa- veut du français qui se poursuit Ottawa comme dans les autres par- ties.de l'Ontario, La compagnie des tramwavs d'Oliwa mérite des, féli- citations. . ct Un voyage de bénre éntente
- à Montreal
» e, : LÉ Montréal, -— La ville de Montréal recevra officiellement Île 307 jan- vier une délégation de bonnc en- tonte vepant d'Ontario ct compre- F au à 308 meubres, dépu- tés, échevins de ‘loronto, ‘maires dé” municipalités, représentants -de comimerec et autres
à
chambres de corps publics, , Le ee Em
Cologne .ne sera pas évacué
.. Londres, — Dans une note re. mise ‘4° PAlemagne, les ainmbassar deurs alliés signifient à ectbe-puis- sance que Cologne-ne sera pas.fel vacué Le 19 janvier parce que PAL Jemagne n'a pas. rempli les.condi. |
‘tions-névcessaires de. désasmeonmont
+ , , …. ‘ r N
eee Le À à mé
rex CEËse: vivre pour servir Dicu et mou-
ia Ste-Sabine- de Rome: “UL mortens
mont
là un moyen de faire entendre une :
core plus à l'ouest, en Saskatche- : sn : note plus où moins .religicuse oui
wa OÙ il organisa plusicurs pa-
roisses, IL fonda” ln paroisse del stns cola, ne résonnerail ps, à l'o- Wauchope où il demeura jusqu'a file d'une quantité dé graves dons.
sa mort, OUT.
Entre ‘temps, Mer Gaire {it plu- sieurs voyages en France.dans lin- iértét de Ja colonisation, Par $es L] PAU L] Q D WIN " LU si ji L - a A a 4 d 4 U
coatt EE EL es ECTS il fit quon géand intérèt qu'il y aurait à crècr anite Aaq nee june agence d'information indépen-
crula un grand nombre de colons! , ce te A0 © RS qui sopt encore aujourd'hui dans dante ve sympathique au eatholicis
Une agence catholique.
Plusieurs firent, vemarquer le
jaune. ét
4 : ans l % ot su | ) + ter nr ue où l'autre. des M, Demenico Russe extmina en- en ect din . At suite fa situation du journalisme à Mur Gaire était'uu prédicateur et! travers le monde, IL moutra d'u
un Cerivain remarquable, ‘et c'était surtout un homme de Dicu, menant une vie pauvre ef désintéresséc, tou- te au service des âmes.
I'haisse de nombreux manuscrits qui -cvntiennent toute l'histoire ‘du, début des paroisses de ectte partie méridionale des deux vrovinces dont ii Juf Je colonisateur et Le fonda teur, + ” . L'Eglise de POuest doit beaucoup à cebon et fidèle serviteur de M causé eutholique ct française.
En 1920, à la recommandation de S. GG, Mgr Mathivds il Ctait nommé Prélat Domestique dé Sa Sainteté pile Souverain Pontife Benoit X en réronnaissance des services qu” avait vendus à l'Eglise. . Mur Gaire sera vivement regretté par tous ceux qui lont connu:
“H répaudit toujours autour de lui, écrit Mgr Mathieu, la bonne o- deur de-fésus Christ et it fut tou- jours Er vivante image de ce divin modèle. 1 ne désirait qu'une echo
bord les trails communs à la pres- se de toul pays: D expliqua notam- ent que, de plus en plus, les jour- naux partout sacrifient à Pinfor iwation et, de ‘plus en pins perdent de leur indépendance vis-tevis" des puissances d'argent. Puis à Purands traits il précisa les carie téristiques principales de la presse des grands pavs du monde: et à termina son fort intéressant ex- pose documenté d'une facon remare auablé, en parlant de lnpreske en.
la leçon de Pexpérienee, it conclut qu'il est très possible en tout pays de faire vivre et :prospérer des
bien cntendu qu'ils soient siffisam- ment informés 44 aussi qu'ils aient les préoccupations sociales
l'Église recommande cHle-méme aux M, Russo reprit à
fidèles d'avoir,
ri pour le rengontrer, Sur sn lombe Où pourrait graver colle ins eriplion qu'on Hit sur un tombeau
viveret, Vixit ut moriturus, pour vi
ut conne. (le- La Sesfion à Régina
Régina, Le. parhmont de Ja Suskatehowan à repris ses stuincenx le jour des Rois, |
La discussion du bill des H- quoeurs n’est pas encore venue sur le tapis.” Mais It Chambre aadop- ié deux résolutions d'ordre géné. ral, Vune demandant Pabhaissement du tarif et la reprise des pourpur. lys, de réciprocité ‘ver les Etats Vois; l'autre. demandint Ja: pro- mriété des ressonr'ees pour li provinces, 1 7 2 à.
Le bill présenté bas Mi Turner pour amendor la loi des écoles 1 été adopté ‘après modification, s'agit du cas d'un commissaire condamné pour offense criminelle, M, Turner propose «dans son Bill que ce commissaire ne soit pas rééligible avant trois ans, Sur mo- on de M. Latta, fa période de trois ans a été réduite à un an ct le Di a été adopté, '
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Le budget de la province
tt inouvir,"* Les funérailles ont cu lieu jeudi, Re service fut chanté par M, l'abbé Pierquis, Curé de Grande Clairiére, Mun., en présence.de Sa Grandeur Mgr Mathieu et d'un nombreux clergé. notannnent MM, les abs C, Maillard, de Gravelbourg À, Le- mieux, de WillowBuneh; F. Nic deau (SERaphael) ; BP. Cruveil- ler AWesburp); TA, Murray, chüñ: celier du diocèse; N; Poirier (Pons icis): À. Beñnoit-(Wilcox); J' Hoôis (StMäurice); C Poirier, (Wolse- lv) A Hinson (Sedley) 5 A Fétst “and (StAmoine) 5; "Dupras (For. gel), 7 . 7 Une foule de catholiques et de prolestunts des communes voisiné étaient venus apporter leurs picux honinhges de raconnaissance à Ho- tee cher défunt, + avait des gens de Forget, Dunias, St Raphael, St: Antoine, St-Mauvice, Hartnev, Grande Clairière, Deleau et même de Winnipeg | .
ES ae — —— L’“Action. Française” ouvre une enquête sur le bilinguis-
me
Régina. Dans uw discours rcupli d'enthousiasme cf de con- fiance dans Pavenir de Ja Saskut- chewan, Phon. premier ministre Dunning à présenté pour ls neu- vième fois le budget de la nyoyvin-
Avec son numéro de janvier, fa vaillante revue lAclion francaise ouvrira une enquèle sur le bilin-
Le gouvernement est heureux d'annoncer qu'il ne voit pas la né- cessité d'imposer de nouvelles ta- ses. 7, La province # terminé l'année fiscale au 30 avril 1924 avec un sur. plus de 536,361, La dette publi- aue. de S56,157.040 à été réduite à #5a.831,787. .
H n’y aura pus de taxes sur la gazoline. Si cette taxe est imposée : Dlus tard il y aura diminution cor- respondante sur les licences d'au- tomobiles, M
ticle qui sera publié chaque njois. M. abbé Groulx, directeur de la revue, ouvrira Penquèfe par un historique du bilinguisme ut Ca- nada, Voilà une enquète' qui. pour elle seule, vaudrait la péine que Ponr-s'abonuät à cette révue dont chaque :numéro est: oxtiémement interessant et utile, nn
Î
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Un député proposera ure ma- rine de guerre pour le Cie
nada |
r :
/ . Ottawa Les députés à ka pro- chaine session fédérale auront: une importante question à étudier celle de établissement d'une marine ‘de guerfe pour de Canada, Tone s'ü+ gif as ‘d'an. article ‘ad programme ministériel mais de la proposition d'un député M. Ncil, indépendant
Conditions financières” excellentes
“La comparaison démontre, dit Me Dunning, que la condition fi- nanCiére da la Saskatchewan cest} ln. meilleure de toutes . les:-pro* vinces à l'exception de Québec. Not taxes provinciales sont :plus basses na relles de toutes lés autres pra”
de Comox Atlin, Colonbic-Britan-{ vinces à l’ouest des grihds lacs: nique, ee . : '- ., }Tout P'impot, provincial ét muni-
tholique dans Ie 'inmonde, . Tirant,
journaux catholiques à condition”
que:
naturelles |
A
‘Fécemment négocié
) de Jui sur son pays, Les Eratients doivent modifier à cet égurd, loûr façon d'être, En outre, qu'ils cher- cheut à entrer davantage en ‘vap- port avec leurs coreligionnaires dé l'étranger. HV aurait beaucoup & attendre pour le bico dé la ralt- gion, des relations régulières dia blics entre les journalistes ‘cathn- liques de l'étranger, Les peuples
trop souvent se connaissent mieux”
par de qui les sépare que parce, qui les rapproche, Aux écrivains die tholiques de réagir partout contre un aussi. déplorable. état d'esprit
Une lettre du Cardinal Gaspurrt
LS Em, Je envdipal., Gasparri 1 adressé une belle. Jottée à ln See ipaine des Ecrivains catholiques. at nom. du, Souverain Pontifé:, L'en- selygnement de l'Église, écrit Sôn ÆEnidnence, est, en effet, la règle infaillible de lonte auction :dat Ai. ques c'est dans ln:meatré of" vivrez votre foi que vou: lu vépanidres et, outre te union disciplinée dt c qui sera votre force el rendra vo. te action léconde, " Votts” éul tie bucrez ainsi à la diff su dühbo le
A
Mere
oùstante
monde des doctrints.:h ï fi de l'Église, et, à l'escplé. À François-de-Sales, paltbl ‘de presse catholique, vous direz at. der éet esprit dé douceur el dé charité qui ovil sur les-@meÿ (ét pénëtre jusqu'au fond des coclirs,
cipal e4t inférieur à ceci du. nifoba à l'est, de PAlbortg à l'ou-
est, et du Montana et du Dakota saut “ , L'esthné qu vevénu uÿbicole de le Saskatehewon d'uprés M. Dur ning se chiffre & 8177194000 dt 1924 contre #199.407,000 en 1925 diminution de #22,134,000, A Sur 14,049,000 acres -semés on blé en 1924, il v a eu 1,704,000 in- produetifs, Nr ut
au ,
1,21 pur minol de blé
Le -buréau dés statistiques, estis ue que Le cultivateur recevra! s1,21 en moyenne pas thinot dé blé, con- tre 05 sous en 1924. * La valeur de l'industrie laitière
a triplé en dixrans. Po ‘ . Notre dette par tête,
lié moindre que cellé” sions," Elle est de 806. dis que celle du Manitoba est de $114: de Alberta, 81,31; de la Co-
est Ja moi- le nos voi:
lombie, 6163; l'Ontario #87: le Nouyeau-Brunswick, #76, ous
venons uprès la Nouvellg-Etcosse dont Ha dette est de $56, par tête, landis que celle de Québec n’est oue de $23, et Pile di Prinec-E- douard, #13, '
aan Le, nm msn
La Session fédérale s'annonce
Oltawa— Tout indique ‘das les
guise, La question sera, étudiée! cé vendredi, jeereles parlementaires l’annroche sous tous ses aspects dans un.ar- ‘de Ju session, L'activité: déj, se
fait. fiévreuse : les délégations avrivent ‘les ünes après les autres auprès du gouvernement : sions du cabinet deviennent quo- tidiennes; les grandes lignes. du plan d'action se dessinent, Avant louverture: de Hi chambre, le gouvernement remplira, selon toute probalité, les cinq sièces :va- cunts au Sénal: deux nour Québec, et.un pour chacune des provinces suivantes. le Nouveau Brunswick, Ple-du Prince-Edouard, et l'Alber- ta, Les ‘estiniés pôurront être pré sehiés, celte fois’ dès ‘les: débuts, ‘et le budget suivra de près. ° - "Des memes
* OTTAWA. — L'hon, Ernest La- Justice, cst
“pointe, ‘ministre de la
“parti pour Washington où il con- salura avec les Etats-Unis, le traité
sujet . dés s et des règle- ut contrôlent ce
. ! H qu Boissons alcooliques e ments généraux q commerce,
a
à .
4
par tête tan:
s les ses.
4
_- Cr, Les Juifs entreprirent «de persé- cuter Jësus, parce qu'il avait agi de
ë 5
- le Père, Tout ce que le père fail
- Pére ‘aime le ils et Jui montre tout
ee
HORARS ES DRE EN EENE
L'Evangile
Ch, Il, — Jésus affirnte ta divinité de su missidn, .
…, (8: 3, \,, 16.47.)
Ja sorte'le jour du Sgabbat. leur dits. ns “Mon père ne" CSC d'agir (1), j'agis de mème! . | Lü-dessus. ils n'en chèrchérent que davantage à le faire mourir, non seulement parce qu'il violail le-sabbat, mais surtout parce qu'il- affirmait que Dieu était son Péres se faisant-ainsi Pégal de Dieu. . C'est pourquoi iésus poursuivit: “En vérité, en vérité, je vous Île dis:.le Füs, de lui-méme, ne peut rien faire qu'il ne l'ail vu faire par
le Fils le fait parcillement, Car-le
ee A
ce qu'il fait, Et il Jui montrera des oeuvres encore plus grandes, en sorte que vous serez dans l'admira- | tion. . -
“Ainsi que Le Père ressuscile les! morts et leur, donne In vie; de mé me le Fils donne la vie à qui ill veut. ‘
“Pouttuit Le Pére ue juge pere: sonne; mais a remis tout jugc- ment au Fils afin que tous honoren: le Fils, comme ils honorent le Pé- re. Et celui qui n'honore point le Fils, n'honçre point le Père, qui Pa envovr.
“En vérilé, en vérité, je vous Îe dis, qui écoute ma parole et croit en Celui qui m'a envoré, possére lai vie éternelle, Pour ui, il nv à point de jugement: il est déjà pas- sé de la mort à la vie,
“En vérité, en vérité, ie vous le dis, l'heure arrive el déit mème elle est venue, où les morts enlen- dront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui l'auront entendue, vivront,
“Comme le Père a Ta vis eu lui-i mème, ainsi ia dorné an Fils d'aci voir Ja vie en lui-mème, Et il lui à donné Ja puissance de juger, parce | qu'il est le fils de l'Homme.
“Ne vous en élonnez pas: eur | lheure vient où tous coux uni sont | dans des sépuleres entendronl” 1x | voix du Fils de Dicu. TE ceux qui auront fait le bieu. en sortiront pour ressusciter À a vie! Ceux, at contraire, qui auront fait be mal, ressusciteront pour dt damnalion,
“Foutefois, de moi-mème, je ne puis vien faire, Selon aue Ÿen- tends, je juge. ef mon iugement ei juste, naree que ie ue cherche point ma volonté, mais ta volonté de ee- lui qui m'a envoyé.
“S'il n'y avait que moi pour r'en- dre témoignure de moi-même, mon témoignage ne scrail Das ir- récusable, Mais il en est un autre qui rend témoimase de moi, et je sais que son témoienage est vrai. Vous avez envavé vers Jenn, il a | rendu témoignage à ln vérité. |
“Pour moi. je n'ai pas besoin du témoignage d'un homme. Si j'en ui parlé, c’est afin de vous sauver,
“jean était une lampe avdente l'eatholique;
et brillante, et un moment, vous! avez voulu tressuillir à sa clarté.
“Quant à quoi, j'ai un témoipna- ge supérieur à celui de Jeun. ce] sont les oeuvres que le Père nra donnè d'accomplir. Ces ocuvres
eee, anne
qué je fais, témoignent que Île Pè- re m'a Chvoyé. '
“Le Père lui-même qui mi en- voyé rend témoignage de moi. Vous avez jumnis entendu sa voix ni contemplé sa gloire, : Sa parole ne demeurc'pas en Vous, puisque vous ne crovez pas à Celui qu'il a en- VOVÉ. .
“Scrutez les Ecritures où vous pensez trouver”"la vie éternetir. filles aussi rendent ténioignage de moi, (2).
“Et vous de voulez pus venir à moi, pour avoir la vie!... Ge n'est point des hommes que je recois MA uloire, Mais je vous connais, el Je sais. que vous n'avez point Pamour de Dieu en vous, de suis venu ait nom de mon Pére, et vous me relc- lez: Qu'un autre vienne en son prO+ pre nom, vous le recevrez,
“Cominenl pourriez-vous croire, vous qui tirez voire gloire les uns des autres et ne cherchez point la gloire qui vient de Dieu seul?
“Ne Pensez pas que 66. Soil moi qui vous .accuserai aupres du Père. Votre accusatenr sera Moïse lui-mème, en qui vous espérez. Si vous croviez à Moïse, peut-être aus- si crojriez-vous en moi, ear là écrit de moi. Mais si vous ne crovez point à ses écrits, coment croirez-vous 4 mes paroles."
NOTES.
(1 Le septième jour, Djeu a ces- Se de créer, mais if n'a jimais ces- sé d'agir pour kr conservation des préatures et le gouvernement dé monde, Aussi, quand Jésus opère une guérison le jour du Sabbat, il ne fait qu'niter son Pére.
12) Ni le témoignage de Jean, ni le témoignage des miracles, ni le
témoignage des Ecritures, ni mème
le témoignage du Père, né-peuvent avoir raison de l'obstinaiion des Juifs. ‘ .
Ses sauts 0 er LE red Peanraqene eng socmtpeten 08 ENS
Réponses aux questions
Réseau quan |
— Est-ce que tous les romans d
‘Lola sont défendus?—
Tous les romans de Zola, excep- |
ie le Rève”, soht à Findex, e ! TT Estlil permis de wanger après minuit avec l'avance ‘de l'heure ct d'aller éommunicr Île lendemain matin ?—
Oui.
Ya-til en Amérique ur mounsté- re des Pères Croisiers?— Oui, à Onamia, Minnesota,
L'on m'a dit que Mary ‘Pich{ord |
avait été mariée deux fois par un prêtre et qu'elle est encore regsar- céce comme une catholique prati- quante et qu’elle a fait don d’une grande somme. d'argent pour ob- tenir ce privilège; est-ce vral?—
Mary Pickford n'a pas été mariée à Douglas Fairbanks par un prêtre, et elle n'est pas admise à la varti- cipation aux sacrements de l'Eglise
le soit, ne pourrait _ certainement pas Jui obtenir le privilège de re-
cevoir les sacrements tant qu'elle se, prétend mariée à Ja suite d’un divorce que PEglise ne reconnait
pas. 1
L'anémie et sa longue suite de malaises ne résistent pas aux bons effets des
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/ “ Pour les Femmes
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NUITS EF DST Ne
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Mme d0S, MILLETTE, 46, Cooke, Trois-Rivières, P. Q.
“Tai pris des Pilules Rou- ges.en différentes occasions et chaque fois jen ai obtent les meilleurs résultats. Tou- jours elles ont refait mes for- ces-épuisées par la maladie ou les obligations de la vie et je me suis convaincue qu’une femme ne peut trou- verde meilleur remède à l'ap- proche d’une maternité ‘ou dans les jours qui suivent”. Mme Jos. Millette,46,Cooke, “Trois-Rivières, PQ.
: Bien que jouissant d'un assez joli embonpoint, je ie setitais ‘sans force et j'étais
+rès pâle. Au moindre exer- cice: j'étais épuisée et à bout d'haleine, Ma:mère me fit
prendre des Pilules Rouges
st 5, + h
.
|
Pâles et Faibles
et cn quelques mois, avec ce remède, j'ai refait mes forces et ma santé”. - Mme O. Mar- tel, 32, Robert, Artic, R. L
“Te me sentais sans force, toujours fatiguée, même après avoir dormi une bonne nuit, et j'avais continuelle- ment une doulenr de dos, catre les épaules. Les Pilu- les Rouges m'ayant été re- commandées par une voisine qui les avaient prises et m'en ayant dit les bons ‘effets, je les ai moi aussi employées. Douze boîtes m'ont été sufi- säntes pour accroître;ma vi- gueur et me remettre coim- plètement”. Mme Adélard Lapoiute, Livermore Falls, Me.
CONSULTATIONS GRATUITES. Les méde- cins de la Compagnie Chi- mique Franco-Américaine donnent des consnitations gratuites à toutes les femmes
qui viennent les voir ou qui leur écrivent. ; |
Les Pilules Rouges pour les Femmes Pâles ét Faibles sont en vente chez tous les marchands de remèdes et sont sans contredit le remède le meilleur marché. N'acceptez jamais de substitution ; Voyez. à ce qu'on vaus donne lès véritables Pi. lules Rouges de la Compagnié Chimique Franco-Américaine. Si vous ne pouvez vous les procurer dans vôtre localité, écrivez-nous, nous vous les enverrons sur réception du prix, 50 sous la boîte.
2 COMPAGNIE CHIMIQUE FRANCO-AMEHICAINE limitée, 274, vue St-Denis, Hontrél
l'ourtant Pheure du Canada vien.| Î
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su fortune, quelle «ul-
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LE PATRIO
DE L'OUEST, Mercredi 14 janvier 1929 | ; nn .
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Ce qui fera ia prospérité de | l'Ouest Le
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Voici quciques aperçus de M. Léo Paul Desrosiers sur l'avenir écc nomique de POuest qui sont -irés encourageons: À | +
Les Canadiens irouvent quelque- fois que la prospérité ne sourit pas vite à Jour pays. Taxes lourdes, esode de ia population, üdètle de guerre trop élevéc, chemins de for! en mauvaise posture financiére, t- districts fertiles en blé trop éloi-! gnés de four iwarehé, toutes ces cho- Ses entravent le développement ë- conomique et arrêtent l'élan des énergies tendues vers Une exp sion plus grande, Puis les diFfi- rentes régions-ont des intérêts dif- féreuts el le partieularisme fleurit vartout comme ntux plus mauvaises heures de notre histoire.
COOLIDGE ET LE, CANADA
dra. Tout véconméent le président des Etats-Unis, M. Coolidge, le pré. voyait dans un discours qui cut beañcoup de retentissement: 0 temps.arrive à grands pas, disait | il, où la vépublique américaine. se- ra dans l'obligation d'importer des quantités énormes de produits 1- ericoles, Avant la guerre, ajoulait- il elle était sur le point de se stil-
five à clleméème, comme l'Angle-f
ferre, Mais durant le grand con- [it européen, le gouvernement a stimulé artificictlement et tempo- rairement Pagricullure, ct retardé, pour queloues annécs, l'avènement du nouvel état de choses. Mais bien-
x plus assez de blé ni assez d'ali- ments, pour la nation, el alors ecl- lecci devra se tourner vers des pavs aericoles alin d'en obtenir la nour- viture dont elle aura besoin.
STATISTIQUES PLEINES" | D'ESPOIR
| | tôt le fermier amérieain ne prodni-
Ces phrases contiennent pour le Canada des mots d'espérance, Car certaides statistiques indiquent bien que. le président des Ptats- Unis Lasail ses allégations sur des faits. ‘Ainsi, entre 1900 et 1920, at population urbaine s’est augmentée de 24,000,000 dames chez nos voi- sins, tuidis que la population ru- ‘rale augmentait à peine de 6,000, En 1910, les fermiers for- waient 43 pour cent de ta popula- tion, et en 1920, cette proportion l Sétuit élevée jusqu'à 51. Ces chif- fres prouvent à eux seuls que lin- dusfialisation de la république voisine marche à pas de géants ct que daus un avenir assCZ prochair: pour que nous puissions y. comp ler, les agriculleurs seront incapt< bles de suffire aux besoins de fa povulation urbaine démesurèment augiuentée.
NOTRE GROS CLIENT
Si les Etats-Unis doivent un jour s'approvisionner ailleurs, quel pars sera aussi bien placé que le Canada pour subvenir à leur voisins? Nos exportations de produils agricoles
ise chitfrent déjà pour les six pre- 4iniers mois de l’année fiscale à #195,000,000. cette année, malgrè des désavantages évidents, ct nos exportalions d'animaux à #70,000,- D00, Mais ces stalistiques sont loin de donner une idée juste des capa- cités de notre pays, Lorsque nous citons ainsi ies chiffres de ses ex- portations, it faut soujours se sus enir que GUOHLIDE acres de îe.
ses seulement sont cn culture loës
ue nous avoas dabs uos frontiéres
300,000,000 acres de terre arable. C'est à peine si nous avons ulilisé le cinquième de notre sol Dans l’ouest seulement. veste environ 131,500,000 acres de terre excel- lente, qui attendent le colon assez hardi et assez entreprenant Des explorateurs, durant ces dernières nnnées, out étudié, par exemple, Le distriet de la rivière de la Paix qui Se trouve dans l'Alberta, et ils n'ont pas craint de dire, après des obser- ‘ations minutieuses, que cette ré- gion produirail autant de blé, à olle geule, après la construction d’un chemin de fer, que les trois provinces.des Prairies en produi- sent aujourd’hui,
La capacité du Canada à produi- re des aliments se développera à qnesure que la demande se fera sen- Ur. Aujourd'hui elle est moins ac- tive qu’en temps de guerre, ct lors- que notre pays met sur le marché international une de ses récoltes monstres, comme celle de lPannée passée, il fait tant fléchir les prix que Pagriculture west plus rému- uéralrice, Mais lindustrialisation de la république voisine nous don- nera les débouchés qui nous man- quent actuellement. Elle stimule- ra d'une manière indirecte te dé- veloppement du Canada, Elle lui fournira leg marchés rapprochés qui ne nous manquent pas entière- ment, c'est vrai, mais qui peuvent absorber tout ce que nous pour- rions. produire, ‘
Hi faut donc souligner ce messa- “e encourageant du “résident Coo- lidue et atigadre patiemment notre heure,
D
Le cartel poursuit l’un
+
son contrat
| Bégina.— Pour ‘la première fois, le cartel du blé intente nne nonr- suite on dommages de 83%. contre - [Léon Zurowski du district de Sou- they, pour avoir vendu un char de ‘| blé en dehors du “pool”, à Ex com- paznié Pionéer Elevator, Zurowzkil|' È
avait signé: le contrat ducartel le 29 juin 1924, ét la transaction eut
lieu le ‘12 novembre
: L'accusé Allègue. pour défense que 3 fait. un, commerre illégal nusquil d'a junais reçu de licence
lé cartel
:
dé‘li commission des grains du Ca-
nada: qu'on lui a fait signer 16 con-
trait sons de fausses représéntations
è
| . LE |: : : CHEZ NOUS ET AILLEURS
généraux aux bureaux de Hi compa gnie,.rue MeGill Î
lu fin‘de janvier, il assiséora avec
d'immigration et de colonisation que
nisation, et les premiers mipisires
grand nombre de iavailicurs, pos-E
om
de ses membres pour avoir brisé
Done eme remet enr niente st mo end #
privé-
s $
AT l'E
Grande conférence de coloni- sation à Winnipeg
Montréal. Le Dr. W. J Black, Je nouveau directeur du hireau de colonisation des chemins de fer na tiopaux, vient d'établir ses quartiers
e . M. Black, va prendre eh mans Eat direction de jout ce qui Se "apporte an développement de Ja colonisation sur Les Mérrains que Ja compagnie posséde Le long de sès lignes. À M. Robb à la gruule conférence tiendront à Winnipeg les compa- gnies, de chunins de fer, le minis- te de l'immigration ct de la colo-l
des trois provinces de F'Ouest. x
. Le EN a décidé de $e livrorcà 1 une campagne inténse, de colouisa-{t
tion, et d'amener au pays le plus |!
sible,
La récolte de 1924 : | Winnipes — Le “Manitoba Érec Press” vient de, publier un a)
f !
donné 238,000. 1È le scigle 11,-'| 276,544; le lin S.S90,622. I'É
fin ‘de Fannée $384,018,138, de produits encure à écouler.
ns |
Le tabac est un germicide Berliti— Le Dr George Wolff, à lalk suite de diverses expériences an-if once ‘que x fumée du tabac dé- teuit les inicrobes où du moins, Îles empéche de se développer, et que
ceux qui fument sont par consé-[f
quent moins exposés aux maladies contagieuses. Vo K
men © .:
La Saskatchewan a le moins
de mortalités et arrive en
. second pour les naissances
Régina. Si lon en juge d'aprés les chiffres, la Saskatchewan est lai} province 1 plus saine du Cunada,
Le taux de la mortalité esi de 7.6 pa 1000, et c’est Le taux Ie plus bas de tout le Canada. ‘
D'autre part la Saskatchewan oc-
pe le second rang parmi les jrovin-!] ces pour da natalité qui est de 25.2 par 100% ,
Fraprés Le bureau fédéral des sta- üstiques la population de la Saskat-
ehewan est de 814,000 âmes, dont
105,134 personnes dans les villes ré- parties conne suit: Moose Juw, 20,275: North PBattic-
ford, 4,414; Prince-Vibert, 8,125; À Régina, 97,000; Saskatoon, 27,660; f
Sie Current, 3,780; Weyburn, 3,- 430. A y n eu 20,933 naissances au
cours de J'année, 6,728 mortalités; 5,053 nrariages. Là 1%:
Une famille épouvée
.#
Ydmonton.— La famille Dexter À. Ross court vraiment de malhcur en imatheur, : L'incendie de Pimmeu- ble Syndicate vient de leur faire perdre vrésgue tout leur, mobilier et leurs effets personnels. La mè- re de Mme Ross s’est sauvée tout! juste avec les habits. qu'elle avait, sur le dos Dans FPincendie de la maison de rapport Montrose, il v a! 15 mois, leurs deux jeunes fils, Ar-| thur et Neil, avaient péri dans Îles flamimes. L à
LE
’ la Vues s \ Qu'est-ce qu’un porc à ba-' con ?
Lu porc. à. bacon est Le résultat des efforts que les éleveurs sc sont imposés pour produire un ani- mal dont la viande, après engrais- sement, puisse dépondre aux exi-
uences du puÿlic consonnmaleur. |
Les ménagéres anglaises, bientôt suivies en-cela par les ménagères canadicnnés, voulaient avoir ‘qu bacon plus maigre ét de bonne qua- lité. . Cette : demande cst aujour- d'hui généralé, et le bacon gros, lourd ou grossier n’est plus appré- cit. !
les salnisons cet lous ceux qui s'occupent dabattre des porcs et de distribuer deurs. produits, ont cons- daté que Panimal qui fournit les coupes demandées par le commer- ce de détail et qui permet ainsi de satisfaire aux exigences des ména- gères, aussi bien au l'étranger, est celui qui a Pépaule légère, le côté long, le dos bien
garni de viaude, le rein.et la croupe ||
bombés, le jambon bien dévelop- né et qui est d’un fini moven uni- forme, Naturellement des £lc- veurs de progrès se sont elforcés de produire ce genre de pores èt ils ont si bien réussi que le porc à bacon anjourd’hui,. d'un ivoe approuvé, fournit à peu près tout ce aue le. marché: désire ct, c’est aussi une machine à lard fort éco- nomique. , -. 7,
1 est'essentiet que'les pores ca- nadiens soient du type voulu pour que leur viande puisse. avantageusement Ja concurrence qui Ani est faite sur les marcliés du monde, Heureusement ce -type fouruit aussi un nroduit idéol pour le commerce de détail'dans les vil. ec eanadicnnés, . Les “fèches” Wiüältshires, qüe l’on'trouve dans Îles nores À bacon, permettent de ven. | dre à Pétranger au plus haut prix
Cf affirmant que les fermiers del du marché, tout le bacon ‘que nous
Ù \
5.4
6 ; ex
* {fisante pour l’engruissement,
précieus® de Faninia | que le pore à bacon ait une bonne Ù louguçur de coûté modele du WiHshire est de 36 pou- ces à partir de a voupe juéqu't doi me, une ligne -du dessous -droite et dégasée, sueur MOvenne! creuséc,' le front farge, les orciles: droites, assez peltiles, fermement atinehées et ciliées de, poils fins. Le cpu est bien musrelés sans dance à araucr sur Lo. desstiét@ar- dessous, près des bajobties, il doil ètre désagt, pos lourd: ni reltom-| bant: liel que les épaules
peine à, t compare de pris de da
cou jusqu'à la queue. à côtes bien: ressorbies. tombant droit, dennanti un côté lisse et dant bien dans
dl, Comptes courants, {
auartiers de derrière, Le “Tin” k no ee L : ‘oui mt 8 innertant as elairemont # Choix de terres en! prairies: etlfiE Soudage à l'électricité 4% révélé par lal igne de dessus! Les.) en culture dans le district de. |h|k : dJ'acétyle QE ores bien finis sont partout d'une KE Montmartie, AN etylène DE larweur movenne. indiquant ni joue RE te TT - | à rein profond ct plein et une crout- i MONTMARTRE, :- - SASK. li lE NOIBCRS D RULES LES EE EST DITES ER _— semterense sam |K: Diet E MACTIINERIES | à D ms | | .USEES OÙ BRISEES 1 : : ri 1 et WTIL | 4 Banquè d’Hochelaga ne ndne She |E h Dentiste NID: 1918 Broad Street à, 9 Actif, vlus de 5120,000,000. l: CHS..C. CLERMONT 7 REGINA. sask Capital versé cf réserve, A: ° , | n L - Donna 4 °_$11,000,000 Docteur en chirurgie dentaite, #2... : | à LDesses Licencié en art dentaire ‘|| semer & pour le: Bominion. s RE | S Ë
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ms .
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TE = . 7 TS, . =, .fue fait. la Socidte à. 4 7 Nations n Genève. En cine PA — CHU : bre..des ‘membres de ES le va | Nügons ‘est passé de 9 SE tel # A Et première véqui ° soil le a, Société, : ar ji LE nveavail. qu'one guest," ME der du jour, A LA Sucslion 1 vient avoir Favait 40, couvrant pre
et
0 : : : re a ü JUe pan: an-| fort sur des. jarfets, ‘La qualité des 0e l'étnion ù
ve ARC CRC tout | alionae, LOTS $ mois 4/3 “HV eu au moins 7 Sn ge: Cémités, Commissions ou fés ences: avVanb:un caractère, in ntitional.…. Ce Taf n'a pas Leco 'à “conmentaires, n
3
Le milieu est Ja partie Ja plus Sil faut donc
La longueur
: du cor los tu jargel. L'animal
avoir une profondeur unilor-
lourquoi se faire opérer! 1 Quand Hepatola enjève les LR buls"biliaires, guérit l'ep} *
| Y Les thaux d'estoinae el
Cr mess
|
es 2 ue ae = = es r2
La tète est d'une lon- la face légérement
SUUS danger pour votre sans. perle de tons üent'pas de poison, ; pair les droguistes,
=) SOUS: en. plus pour ll. Péponse cn anolais.
Le]
{en-
IL est, ésson- soient lisses, conipactes, cl on maura aucune a compecndre ceci, ;81, on vinide de
ou grossier.
Mrs. ‘ Geo. $, Almas
à une famille qui s'est montrée HE 4 Le.seul manufacturier
"auHagcuse, D
. | »
, 4 : . : , épaule à celui des autres par. | _— eus 239-tème ies de Fanimal, ‘Le.des doit êti ‘ ème Avenue S
SASKATOON _- -- . . 4h
“du:
égérement marqué, à partir
"ARTHUR J. BOYER |
; : IMMEUBLES et l | Assuranets Confederation Life. ||] peemmmeneseennnn (
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égal, se confr- Pâpaule . et ls]
(Pour Obligations Françaises —
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Service des plns modernés, | Appareil de radiographie,
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Escompte et crédit, :
[qu autres obligations
européen à
' Encaissement, | Le . | Encaissement, cle. _ j.nes, encaissement de coupons Mandats de voyage, .." à 207 rit Qu ., all . dépôts, ele, ) de sûreté. 1} 7 Bâtisse Hammond... ff ‘S'ADRESSER 4
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ches de la Cathédrale éper- 1rs derniers sons, hâtais, quand soudain je t prés, une nude de moi- péniaiont plus bruyam-
Les clo lient Îet Je me vis Jà tout neaux qui
nt que d'habitude. MAIS, me dis-je; il fait grand froid pour un marge... 3 Non! ce n’étiient pas des cris
veux : la‘bande ne-s'élevait pas, is au contraite, volfigeait en se nant vers le sol. Ma curiosité n°v tint plus, ie ne précipitai vers le point qui les uttirait tous, et jugez Je mon horreur, quand jy vis’ un Petit pierrot, tout ensänglanté, ex- pirant sous les cous de becs de ses fréres.
It ét leur peut-être, D -omme eux... ' de quoi donc s’é- ait-il rendu coupable le vauvre malheureux? -Sa gourmandise. lui aurait-elle fait voler des miettes de Î Mais non, ce serait in-
ait naurtant de 1nême cou-
,| quois, venaient
né pépiait-il pas
pain... L k rraisemhlable de tuer pour si peu. . pui sait? Peut-être aussi, (puis-
aur le sol L pait-il de loin. ennfiant an'en ce coin il iouirait d’une aussi sr'an- de liberté que sons d'autres cieux, auand cette bande haélile se run qu Lui, en criant: “Halte-lh, tu n'es nas des nôtres, à mort”! Et tous d'en faire leur proic. An! vonurquoi n’élaisie pas ar. rivée plutôt nour le saisir, l'isoler be coups et lui dire: “Courage pe- tit poursnis ton envalée. Un ne nlos loin tu trouveras les tiens, An- valie ta compagne an nid que vous batirez ensemble dés que .Pavril chantera. Tmpläntelai en dénit as nerséeutions que te. feront si- hir des infatisables “chasseurs. car les aubes dorées naissent! nour fai comme pour env. Latin nt vint Hélas! cos vilaine niovmpole, si în. nerents, si innoffencifs. en nm rpnon, avaient CoMMIS UN HSFHSST nat ! . . ‘ Hv Ces INOÏNCAUX. 0... + ee “MADRINA.
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1%:
La béatification des huit mar !
tyrs canadiens
On a annoncé il y a quelque lemps, que la béatification des huit iésuites canadiens martyrisés au’ début de la colonie aura lieu cette année à Rome. .
Cette année amène le 275ème, an- niversaire du martyre -des PP. de
Bréboeuf, Lalemant, Garnier ct Chabanel. C’est en 1649 qu'ils
versèrent leur sang pour Île “Régne du Christ”, dans Ia Nouvelle-Fran- ce. D'autres les avaient précédés dans cette voic royale: le F. Gou- nil en 1642, le P, Jogues et Jean de la Lande, en 1646, le LP. Daniel, en 1648, C’est ce triomphe qu’ils t- à laient venus chercher sur notre sol. * En débarquant, n’avaicent-ils. pas offert leur vie âu Maitre de Ja Moisson’? Le P, de Bréboeuf fait méme voeu de ne jamais manquer à la grâce du martyre. Les huit. fu- lurs confesseurs de là foi manifes- tent, dans leurs écrits et leurs pa-
roles, le mème héroïqie désir. Leur espoir fut exaucé. Rarement
la rage sataniqüe fut. plus inventi- ve de tourments ingénieux venger les défaites partielles des faux dieux, ridiculiser les dogmes et les prutiques de PEglise. Par la cruauté et l’originalité des tor- ures qu'ils subirent, nos huit hé- rauts du Christ ajoütèrent une pa-
eil brille nouf tous) ve-|
citer $, S, Pie XI de donner au pro- cés de nos martyrs canadiens la préséance sur d'autres causes? le 3 octobre le. “Devoir”: annonçait que nos jésuites, Rrtsrs des Jro- d'être proclamés vénérables par les Pères Re Que grégation Romaine, qui a statué dé- finitivement sur l'héroicité de leurs vertus. fl reste le deuxième ste de Ja béatification qui préce-'
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NRIHEN
Le chancelier Marx, abandon: ne la partie
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Bertin.— Le chancelier Marx « nerdu la partie contre Streséman, le ministre des affaires étrangères. Abrès cinq semaines d'efforts sté- riles. devant lopposition des ‘na tionalistes et du parti du peunle al- lemand. il dut renoncër à former un gouvernement assez fort vour commander une majorité au Reichs- lus,
LE LITE RIT TTL TUE meer semer eee eee ete
LES' NOUVELLES * . CHEZ NOUS ET AILLEURS |
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de celui de la canonisation. Es- bérons que le Coeur de Jésus don- nera bientôt à l'Amérique Septen- Wionale comme aux autres peuples, des niodèles et des protecteurs, des saints qui s’intéresseront tout spé- cialement à nous. A Rome on hà- {e le procès afin de faire coincider: leur canonisation avec le 30 cente- naire de Parrivéc. des Jésuites at Canada lan prochain.
ue Re en Deere
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FETE SET I
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L'armée rouge mobilise ! | Londres.— On ande dr Slock- hoini que les Soviets ant décrété 11 mobilisation nartielle de l'armée ronge, Cette décision est due, pa- ait-il, aux inquiétudes que donne aux autorités soviétiques In situn- tion internationale actuelle, On au- rait, phrait-il, Ronné l'ordre aux industriels de commencer Ja fnbri- “alion du matériel de guerre et, en particulier, de gaz asphyxiants.
nn ue co den
jtait aventurée jusque là,
A ne ST, Mes
4 janvier 1925
Une religieuse député au par. lement de Hongrie
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Washington. - Soeur Marguerite | Slatchu; des Socurs du Service Su-. cial du Budapest, Hongrie, est nc- tuellément à Washington, où elle est venue S'enquérir au suict d'une conférence inlerparlementaire, à hiquelle élle représenterait son par ti politique, le parti Social CGhré- tien. ,
Soeur Margmerite est la première religieuse catholique à occuper un siège à un parlement, Lors des élections, elle défit trois candidats masculins: Pun tail muinistre du gouvernetiont au pouvoir, es detix autres, des chefs poliliques, Hs rinient de sa candiditure: on était habituë à voir des prètres députés, mais jamais une religieuse ne s'é- Cepen- dant la population si catholique de la Hongrie ne s'en scandalisa point. . Au contraire elle rallin tous les suffrages, car Île programme du parti que fonda Socur Marguerite, pour combattre les Rouges, ctait de mettre du chrislianisme dans le gouvernement, Ancionne instifu- trice, orfunisatrice d'oeuvre socia- les, elle connaissait à fond la nsv- cholagie de son neuple; aussi bien sut-elle communiquer son enthou-
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y : : et siasme aux femmes de sun Days, À
14: Les bol h Ju os qui elle s'adressuit avant tout. Les
. ‘ e i ouges lt menacèrent de faire feit
Propagande anslaise aux E. 5 Le C evistes font venir des) sir Fes assemblées qu'elle tenait: tats-Unis avions rien. ne Farrèla,
à 1 ; 3 —— Le parti social chrétien, fondé
Londres. On apprend ici, que) anrès la ‘guèrre, de comnosait
Philadelphie. Sir G. Paishe vur- hliciste ct éminent financier anglais vient de parler d'une autre sucrre ! nrochaine, devant la Société Trans: Atlantique. I] nrétend que. si la
le gouvernement des sovicts russes! d'hommes cet de femmes détermi- |]
a commandé à la maison Fohker, nés, Ù dut se contenter de pour- cônstructeurs hollandais d'aérovla-| suivre son organisation dans l'om- nes, cent avions de -combat® dont! bre.et le servet sous le résime rou-
PAngleterre fournira les moteurs.‘ ! se du président Karolvi,
nasion des indemnités reste telle CH .
Le st, ot si les Français n'é chevi
vacucnt Das la Rhénanie, une antre Propagande bolchevique chez J'‘“‘uerre enronéenne est inévitable. les noirs
a des.sens qui ressemblent à?
À snuposer qu'on ne trouve pas au nintôt nne solntion inste ot raison- nable à ses difficultés financières, In France continuera Foccupntion. et l'Allemagne va essaver de la mettre à, la norte, Cette fois, À “An dire, PAllemagne s'alliers à 1
Ce
Parvis — Une délégation de noirs (français) « recu de Moscou 100.- 000 roubles.or pour soutenir la lut- fe politique et économique contre les blancs,
Russie, et les deux rénnies étahli- ' . ht ront le despotisme militaire en Eu- Une ligne aérienne de Paris à rope, fr ‘ Berlin |
Ces déclarations et certains :an- nels' aux Etats-Unis, “la seule na- fon avec une politique de jnstice”, ont un relent un peu fort de pro- “nsande cn faveur de Ta Société des | Nations, _:
Berlin.— On annonce qu'une cont- vagnie allemande de navigation né- tienne négocie actuellement à Pa- ris avec une compagnie
, “ : & francaise en vue de la création d'un Il est certain que le rapport Da-! service direct entre Berlin et Paris.
wes n’a pas tout réglé, :
Mussolini revient à la maniè- |
Les pourparlers scraient déjà sur le: point d'aboutir, et l'on compte à Berlin. sur l'ouverture prochaine de ectte ligne acrienne,
#:
i re forte A , L | … Le dôme‘de la cathédrale St Rome, -—— Des troubles s'étant Paul menace ruine
pour:
produits ces derniers temns on di- «vers endroits de l'Italie. Mussolini a repris la manière forte en don- nant de striètes instructions À tous les préfets ‘de réprimer tous Jes excès de quelques quartiers qu'ils viennent,
Quarante-huit heures après ces paroles que je dis, ie vous assure .aue le calme sera revenu et que l'air de Pltalie sera redevenu res- pirable”,
Son ‘discours a élé haché d’ap- nlaudissements il paroles de nombreux
fe démolir
Londres.-- Le grand dôme de Ha cathédrale St-Paul menace ruine, Sa chute n’est pas imminente, croit- on; mais elle aura lieu d'ici quel- ques annges. si on ne le consolide- pas au plutôt.
On ‘a déja dépensé des somme considérables t res des piliers qui se font de plus en plus nombreuses, On suggère de et d'en construire un
ACrIONNCl rosdect, et nttention.
$\Les orifices de Ja mine. d'où s'é- \ remplir les fissu-}€
neuf: ce serait un reméde radical,
accentuait Ses] sculement il coûterait dans les 500.- coups. de | 000 livres, nécessiterait des travaux
poing sur la tribune parleméntai-| d'une trentaine d’années, et l'on cst
re di premier ministre,
rs 3 . . » Ü Et Pen-| d'avis de laisser l’entreprise aux gt-
thousiasme .a ëté porté à son pas! nérations futures. roxveme quand, en terminant | Les piliers vides ont suffi jusqu'i- il sléclara: “le gouvernement a ce) ei à supporter le poids immense du
Les com- munistes occupèrent ensuite Le non- voir, ct pour survivre, les chefs du nouveau parti de mème que Socur Marguerite el les antres relisionses furent obligs de tronver de Pom
ploi.snr les fermes, Alt restaure lfiipres poste seule à rapporté | “Le feuneais et oune fansue indis- tion. du gonvernement bougrois, le 07 181.78. !negenble. coneluent-ilé, cet maisons an che sine Dhs EE En D ina ant que ia: dt port ant Dar | MARIBNTUAT Sashe List | pratitone jan sont Vu |
RUE SOCUE MATEUCPC luteur, Leo Mavhood, a &té frappé Si des \nglo-eanadiens dant Ju
ot fourpit le nrésidtnt di nouveau régime dans l'un de ses chofs Hus- ga. Tout le pays vénère l'habil sris de da relisionse el vent hom- waue À son génie d'organisation, à son courage, à son Glouneneg rf par-dessus tout à Ja rectitnde de son jngcment. À La chambre. on l'éraute avor Fe na dûiñ présenté plusieurs bills surtout pour Pamélinration de Es classe nn- vrière, et elle an réussi à Jos frire
presser. Fe souleva une véri table temmète en nronosant une
mesure aui maioraif Va fase cn Les paris, aux conrsest elle Hint bon el rempora ln victoire,
Soeur Marsurvile visiter quel. nes smgisans de son ordre Aox Etets-Unis çl'au Canada,
PRES EX SES
Une mine en feu
Rome.— Uh incendie s'est déclaré dans wie inine de souffre de Trabia happaient des icoulées “de flummes h'euâtres, ont dû ètre obstruéës pour étcindre lexfeu,
Durant ce travail plusieurs ou- vriers ont säbi:un commencement d'asphyxie” et: ont dû être éloignés.
ee it LES NOUVELLES EN QUELQUES LIGNES
ASSINILOTA, Sask.—Hilaire ar-
| . { drier, Jack Bruce, à 98 pivds sortis
“4e inédite et gloricuse au martyro-
loge, ri faut pont détruire l'opposi-‘
dôme; mais les excavations des der-| monie, 25 ans, avait altelé quatre niéres années, le creusage des €-l’ehevaux sur une graincrie qu'il
une chemise noire ot di papier d'emballage, L'enplové ramassa le paquet et, de vemis au préposé aux objets trouvés, qui l'ouvnt el en informa aussitôt la police,
CALGARY. 2 HW, Wood, pré- sident, du cartel, dé l'Alberta, dit que des procédures seront prises contre Les fermiers qui ont brisé leur coritiat, To
Swan Hiver, Man, Montgomery, âgée de i6 ans, a élé luée, alors que son cavalivi W, Wilson, lui expliquait le mécanis- me d'une carabine 22, Une enghète aura lieu pour découvrir bee a cu meurtre où simplement heci- dent, ane
Dorothée
:
emma monpaiene 0
os, = He i
SASKATOON, — Un ancien fer. micr du distriet Hanley, Gec Law son, 51 ans, « été blessé à mort
par un taureau Holstein qu'ilfceon-
4
duisait hors de l'étable. :
Winnipeg.—L'établissement Nor- thern Shirt Faclorv, situé dans le quartier résidentiel" de Gentrat Park a été détruit par le feu. Portes de 250,000,
manne
Le Pas, La mince Hex, l’une des plus importantes dans le cant- ton de mines d'or du tac aux her- bes, a pris leu, Le moulin et Ia bâtisse de pouvoir ont été détruits.
DRCMHELLER, Alla, Vers les neuf heures Pin, on s'aperçeut que | MW Irvine, assis avec d'autres dns | grande salle de Phôtel White House, ne prenait point part à ln conversafions on s'approcha, il &- tait mort d'une svneope, On ne lui connait pus de parents,
SASRATOON, Les recettes du bureau de poste de Saskatoon, du: vant le mois de décembre, ont été de tout près SA00, La vente des
de léthargie dans uve elhambre d'hôtel à Regina, pendant les va vances de Noël, Lorsqu'on le trou- “va, on,le crovail morts mais lrans- porté à l'hôpital, rest Incons- cient encore une couple de juurs A son révoil, il ne sut méme pus reconnaitre son pére,
. REGINA. - Le systéme des trame wavs de Régina montre pont Pan- née écoulée un déficit de 523,000,
Cest S3,000 de moins qu'en 192
Du.
SPALDING, Sask, Lu pâté de 1iaisons, comprenant Un Magasin, un bôtel, un restaurant et des rési: dences, a été détruit par le feu le 14 janvier au malin,
LOREBURN. Sask, Le jeune Wallace Bender, qui s'était gelé
si gravement dans uue partie de chasse aux beleltes, il va frois se maines, a dû être transporté à Phô- pital où on lui a. aumpulé les deux pieds, ün bras, et une partie de Pautre nain,
Ottawa --.Le département des douanes «à revu S2H, denis dans une enveloppe avec indication que cel urgent fait une restitution pour fraudes cominises,
VANCOUVER:
Un seaphan-
|
Peau n été attaaué par un requin de 6 pieds de Jongi 1 est parvenu à tuer le requin en le frappant avec une barre de fer.
me es
; Itatic.
,coles secondaires el nine dus nos
ll j } ! Î | | Î | Î i
[000 à 30,090, c'est-à-dire que pour
Le saint évèque de Québec, Mgr Laval, écrivant au général de la Compagnie, dit d'eux: ‘J'ai vu. ici ct j'ai admiré lesttravaux de vos Pères. Par leurs exemples ct la sainteté de leur vie.... ils sônt la bonne odeur ge Jésus-Christ, par- tout où ils travaillent” : Son suc- cesseur, Mgr de St-Valier, renchè- rit encore: “Tl faut avouer que par- ini ces Pères de la Nouvelle-France, il y'a un certain air de sainteté si sensible et si éclatant que je ne sais s'il peut y avoir quelqué chose de plus en aucun autre endroit du monde où.la Compagnie de Jésus. est établie.” Et la vénérable Mère Marie de PIincarnation a laissé de nombreux témoignages sur le ‘zèle el les vertus de ces admirables ou: vriers de lEvanzile, Dès lors na- quit spontanément la. dévotion de nos martyrs canadiens. Après Îles demandes faites au Saint-Siège pour la glorification” de ces huit missionnaires martyrisés- en haine de Ja foi: demandes faites par les Pères du. 3e Concile piénièr dé Bnl- timorc; en 1884. mar de 7e Concile nrovincial de Quéher, la: Sarrée Congrégation des - Rites décrétait en 1916, l'introduction officielle de l'eause ‘de nos martyrs canadiens, Dans une lettre jécente! S: Em, le cardinal Bégin a bien:voulu:solli-
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des portrai tites annonces. cessaire. ‘ c . Les annonces dans journal....Chaque courrie souverainement efficace.
pète où aller pour se nourri
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le PATRIOTE, l'annonce est un revenu indisy le” coût de ‘composition. et d'impression , du jour al.
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en encouragenñt nos annonceurs. E _-les honorer de votre: clientèle, c'est men annonceur. 11 est facile de dire:
. anüoñcé.” :
nalement le décidera. où cette mentalité sera cré pas ‘de’ l'avant.”
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Dans les journaux, it y a une partie consacr consacrée à un autre genre. d'information non m journal qui est simplement .et avant, tout une ex- noie la direction, toujqurs nulle, et la nouvelle ge de clichés d'églises et de “scènes. du dernier ts de pieux et pacifiques abhés, le tou Dans le journal d'idées, lannon
le PATRIOTE apportent. r nous apporte le témoi | -Nes annonceurs réguli mi-les nôtres une clientèle fidèle et aussi satisfa cieuse de -renscignernnts répondant à ses différe nts r, se vêtir, se faire so igner,
Et si vatre fournisseur
blement pourquei il n’annonce. pas. ‘Encourager les annonceurs ée définitivement chez fous nos lecteurs,
-praten” danois apprend que le mou-
tion Aventine”. ,
Plusieurs associations qui étaient | goûts modernes, les vibrations cuu-| qésirait transporter ailleurs.
bes
des .fovers ‘d’asitation’ ont été jm-|sées par un trafic de plus en plus! chevaux prennent. peur, et la bà- considérable ont affaibli les bases| tisse en passant sur le dos d’'Har-
pitovablement dissoutes.
: a Les bolchevistes veulent dé- clancher le révolution géné rale au printemps
Copenhague. — Le “Socialdemo-
vément général soviétique pour la révolution mondiale s’est déclanché à la suite de la décision du gouver- nement de Moscou annoncée à la réunion de Ja 3ème Internationale de juillet 1924, d’'aurès laauelle, si la révolution n'avait pas éclaté au 1er mars 1995, il supprinerait tous les fonds de propagande et repren-* drait les relations internationales d'avant ‘1914.
Le mème journal apprend d'autre part que la corruption en Russie est telle’ que lorsque les commissai- res voulurent emprisonner ‘Radek, l'aceusant d'être un -agent anglais, celui-ci répondit que des «mis é trangers publieraient des révéla tions autrement sensationnelles sur le gouvernement soviétique, ct les Soviets ne Pinquiètèrent plus.
CT
ée à la direcl oïns nécessaire:
ouvent fausse ou
elle, » L “meurtre”, de gros
ss nreà | des bénéfices à. gnäge que la publi
ite, L besoins,
dispen sable qui aide d
tre journ al, Encourager nos annonceurs tionner Le nom, du jour “J'ai vu votreannonce dans n’annonce pas dans le … Cette. question plusieu en menti
nal.
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ve”, acausé une grande
t encadré, enserré, ce a sa place raisonna
ers de Prinee-Albert et d’ Pour le lecteur l’annonce es Chaque semai défendre ses intérêts, ans une bonne mesure à défrayer
urs fois répétée 1 | onner le nom du PATRIOTE: le jour
de l'édifice, et ont forcé les autori-! monie Jui brise les reins. le! vivent, son père, sa mère ut rois
tés municipales à déclarer que
Lui sur-
dôme de la cathédrale St-Paul était! frères,
une construction dangereuse. \ [
DE ‘Un monstre
\
‘ et Berlin.— On a trouvé de la vian- de humaine salée, et des membres humains, dans la demeure dé Den- ke, Passassin “en gros”, et la: poli- ve est convaincue que le misérable pratiquait Je cannibalisme depuis des années, avant de se suicider dans Sa prison, où gë , . Gette affaire venant après celle d'Haarmann, surnommé le “vampi- É émotion dans PAllemagne tout.entière, On se plaint que la police Se mêle con- tinucllement des affaires privées dés sens, mais Jaisse des crimes mons- trucux de ce genre 5€ perpétrer pendant des années avant de mettre la main sur les coupables. On na trouvé sur -le misérable, a- près son suicide, une paire de bre-
3 telles en, peau hunnine. - 4 ie,
Pourquoi il y a des annonces ciion et à J'information et une partie ploitation financière, la réc
ANNONCE. Dans le grand lame actapare fout et colorée. C’est un dévergènda- titres provocants à cheval sur: étouffé par de grosses et pe- blement limitée mais né-
l'annonceur, au lecteur ét au. cité faite dans nos colonnes:est ailleurs se sont créé par- t une source pré- ne son journal lui ré- Pour votre journal,
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il attendait d’être ju-
SASKATOON. —— Un enfant nou- veau-né à été trouvé mort dans un damwav. était enveloppé dans
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La dynastie la plus ancienne du monde
Voici l'extrait d’uu bel article de M. Jules Porion dans TAction Ca- tholique qui met en vive lumicre le fait de Pimmortalité de PEgliseé à l’occasion de la réception officielle du corps diplomatique à Paris et a Berlin: DRE ‘
“C'est Mgr, Cerretti, nonce papal, qui, à.ditre de doyen, présenta les voeux.de ses collègues du corps di- plomatique au président Dotmer- gue....? | ‘“lous les chefs où chefs intéri- maires des auissions diplomatiques étrangères ont présenté leurs res- pects au président (le président E-
fbert, de Berlin) par Ja voix de Mgr
Paccelli, nonce’ papal”: u Voici ee que disaient les dépê-
ches, en parlant des souhaits -de bonne année en hauts lieux. Nous
ne les avons pas toutes lues, mais il est propable qu’en en parcourant d'autres, nous aurions constaté que dans presque toutes les grandes cu- :pitales’ie nonce apostolique à par- lé à titre de doyen-du corps diplo- matique. .
Et pourtant, dans, la grande n- jorilé des ens, le nonce, bien loin d'être le doyen d'âge, prend plutôt figure de Benjamin au milieu des têtes chenues qui lentourent.
Mais si les nonces sont -relative- ment jeunes, ils représentent une “dynastie qui est la plus ancienne de PEurope ct du monde, , . Si, lorsque le nonce parie du rof son maître, il désigne le roi le plus pauvre qui soit, il-parle en même temps d'un roi dont les domaines sont les plus anciens te PEuronc, et dont le prestige efface celui des conquérants les plus. frmeux,.
Quoiqu'il én soit, jé nonce de Pape, l'ambassadeur d'un roi qui n'est mème pis Pégal en. puiss d'un président \ Epubliques de StMartin où d'Andor- ve; Je représentant d'un Etat qui
;
m4
Eu lisant les Journaux :-:
A AR NEA
annee co es, minuscules ré-!
QUEBEC, —- La 2ème session du 16ème parlement de Ouéhoe s'est ouverte Je lendemain de l'Epiplhit- uie.
ROME, —
ira emesgeme se
La Chaivbre italienne
S'est vuverte Inndi, Mussolini Aoit urésenter une loi de réforme élec orale qui suscite beaucoup. d'in- térèt.
L n'existe plus qu'en droil, est encore le doyen du corps diplomatique à Paris. Lt c'est conune tel qu'il à adressé un discours officiel au chef d'un gouvernement profession de ne croire ni au Pape, ni à l'Église, encore mois at pouvoir temporel el aux veux de qui il n'est logiquement rien.
E arrive de:ces, choses à un Her. riot où à un Doumergite,
- Mais quoiqu'il arrive, il y aura encore des nonces dovens di corps diplomatique, à Paris où ailleurs, longtemps aprés que !les Herriot seront disparus et oubliés.
Les ministères, même maçons sont caducs.
L'Eglise éternelle.
\ des prouesses dé vie
Jules DORION, 1/Action Catholique
Le bilinguisme, richesse na- | tionale
ù
L'entrée du, Canada dans le con- cert des nations auf ou au moins un résultat pratique: celui d'ouvrir les veux. des Anglo-canadiens sur Pimportance qu'occupe Hi langue francaise dans Je monde.
Avant les pourparlers de Ver- sailles et les assises d': la Société des Nations, Les représentants du Canada ne eongaissaicht d'autres réunions de peuples que celles des Conférences impériales, où: sen] l'anglais était officiel. +
Depuis 1919, il ne s’est pas pas- sé une seule annéc'sans que le Ca- nada prenne part, à des conféren. ces internationales, dont 11 langue officielle est le franpais, langue de la diplomatie. - .
Les représentants canadiens, qui ignoraient le français ont trouvé trés incormimodé: d'assister, pendant des semaines entières sans vien V
mprendre, .k..des délibérations d'une supréme importance, + Pendant es longues” semaines À qui précédérent Ja signature." du
À
qui Faitil
laité de Vérsailles, MM Foster :el Siflun profilent de leur séjour à Paris, pour apprendre, malgré leur age avancé, be langue de la diplo-
C'est M, Grahuun, ministre des Chemins de ler, qui déclare au re: tour de l'assemblée de la. Société des Nations, au cours de Pantone de 1923, qu'un homme publie qui est appelé à siéger dans les assem- hlécs internationales, doit connai- tre La linguce française,
HV a quelques mois seulement, Sie John Wülison, ancien rédac- teur du News” ot du “Globe de Toronto, conmuniquait à la presse mnadienne ees réflexions que lui avait inspirées nn voyage anmtont du monde. “Vous ne pouvez voya- | ger à Lravers Le monde avec, une seude langue, et je ne puis penser à rien qui ferait davantuge, pour Punification du Canada ct qui lui donnerait davantage de Bi distine- tion parmi les nalions que de ren- dre obligntoire la Jangue francaise, Je rendrais l'enseignement "obligne toire, non seulement dns nos tuni- versilés, mais encore dns os 6-
cvoles élémentaires."
Enfin, M. 0, D, Skelton, ancien vrolesseur d'économie politique à l'Université Queen et actuellenient conseiller au bureau des affaires étrangores, qui arrive de Génève, un déclaré dans une eouseorie fuite en notre villes "Le lait quete Cu-
id Î nada est un pays bilingue el que
ces den laneues sont les dens lan
unes officiolles du bi Socièté dus Nalions constitue vue magnifique richesse, Si nous mettons à plein vpotit cette CLRELTE FLE LCR ER Lo ‘te . dence nous & donnée, nous bénéfi- eisrons de plus en plus dans nos relations avec les pays étrangers”
alle est lPopinion d'Andui-esne nadions jntellivents, exempls de nréjugfs, celnirés por nn contaet de enelques vois ver trs persan medlités njlitiques du monde entier,
Pinagnn matepoolfe st Panotaiss ons. nent M ooeg ci honte fn nonnais. darts de Ja loosaqe lonnenice, n'‘puf. il pas naturel que les Cnnnedione. frageais, dons nolare mare dit Panneau meule habiter" Hennent à 'atre noprendre 7 lets enfants Bou ape csntonpells 9 La con- huve serait incompréhensible, Chartes GAUTIER, (le Droit)
nm me anse M ones ee
Que Québec nous aide!
Les chiffres du dernier recense went de 1921 démontrent que fes Canadiens français du Manitoba sont passés de SOU à 40000 en dix ans, Le groupe francais le fa Saskutéhewan, dans le mme spa ce de temps, est passe de 23,000 à 42,000 ot colui de l'Albertt de 19
|
les trois provinces Ja population cnnadicnne française a augmenté de 40,000 en dix ans,
À ce propos, l'ictiot eaholique écrit nn bel article pour reconr imander que Je surplus de li po- ipulalion de La provinee de Québec soit divigé vers Dos Drovinees at heu d'aller se déverser cux Btals-
Inis.
4 î
te
“Los CGanadieñs dans eus U'ois provinces, remarque ce journal, sont aujourd'hui beaucoup plus oinbreux que vous ne Pétions t- près lu conquête, el leur progres- sion est constante et norniale Dans une moyenne d'un peu plus de 20 ans, par leurs propres forces, is doublent en nombre. S'ils savoul se tenir debout conne ils le Fou aelucllement avec vigueur el lack, S'ils savent meintenir et forifier selon Les besoins dt moment, Jours organisations roligiouses et naltio- nades, Pavenir pe leur donner pas F'Ouest, mais ou moins une place considérable ‘dans ces provinces,
“be ce cotè-ft, ln Providence aidant comme elle Pa si géncrense- ment fait par le passé, Pavernb est done rassurant. ir
“Seulement, nous pourrions faire notre part beatconp plus lg et assurer bien plus vapidement fous Suucés, Si, nous de PSE, notis étions nousnièmes orsoniéts pour Jonr
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donner une partie du surplus que nous Htissoi por.”
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Léopt à l'entendre.
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Léon Daudet orateur Des applantlissements l'orateur précédent, el
suiies soudaie
tout vol sacendé et bruvatit s'infer
rompt, Les mains, conne des aile murtes, cessent de battre et retour bent le long des corps. Un gran silence succède au fricas de tout, l'heure. La foule, avide de imiett voir, de mieux enténdre, s'inmols lise. Daudet vient de partitée à tribune, | j' Sur celte tribune qui S'vanc: trèle jetée au-dessus dit Pot um
les policiers du député rovaliste:f
sont éeartés, pour Hi faire pari
Quand Daudet parle, ir 14h faut ‘dl
chap, . le Dans cette minute de silenc:
pleine d'un voluptueux enerveme cette minute lourde de promesse qui précède chaque discouts Pa
lcemblée ,contemple’"ectui qui va pat
ler, Elle lui est d'ailleurs familigr cette Silhoniclle couîte, ramassée €. dont Le geste, en dépit de l'embotr voint a une promplitude fétine, Le, lustres échairent d'unc lumière ent le visage rude aux lignes essentie, | les: deux traits pour les veux Celi «ts sons Le poids d'un Front masst un nez puissant que deux sillon relient à da bouche cpaisse et ve luntnire, | oi Connne un marin sui Re passore e, de regard perdu bers d'invisibie horizons. Daudot se promène d long en large sur sa tribune, 1e eahne, parle posément ne fai pus une barangue de réunion publi ” que imhis une eouserie de sudlon 07 le contact s'établit ainsi contre Tui ei ses auditeurs dont éhacun se cr
+ n
4
4 4
s
Majnlenant, son regard plong dedans Passemblée, va d'un visag à l'autre et son geste s'adresse à 16, où tel qu'it ne distingue pourtar point, ‘ ou
Son aelion s'est affemmie. HE fait purtager à da loule ses irouies se: inimiliès, D'un mot cruel, il stigméi, lise l'incapacité dé sus adversaire. politiques, it flétrit leurs opinions, leur visage, four nom, Hi ahat se etnonie quus de sainglintes dpithei
se; :
les et des jette à la meute peu’ qu'elle les dévores Lu meule réagibelle bon molle"
ent à son gré, il Pexeile, la fou, aille, H prend une phense qui ps nait anodine au début, it la Hince, ji! ln développe ol elle se déploic dan Paie conne un jet de fouet pour ve lomber en claquant aux orollles, E il sc emnpe, In léte rejetée en arrit, re en attendant la riposte, L I s'est arrété, HN va donner sr effort. La agrippé à deux nmiains 1 balusténde et sv anpuie de tout soi. corps. Sie voix se Fait vibrante, for imidable, Silôt sortie de sa bouche. chaque parole s'ehfle comme un voile où éclate aver uacbrnit de sa ve, Sans transition, il basse de doucour à Jo cojére et la foule qu d'abord avait peiur à le suivre, frciner eur sos sentiments pot al er de liudigualion à l'enthousias ue, de Ha haine à l'amour, vibr maintenant au méme vétinne qu Ini, lle est conauise, elle s'abatt donne, elle est prétu à toul.: : Alors H s'avrète un instant pou savourer son triomphe, pour fe ou suver, puis, d'un devnier coun d° gosier, à courbe Passemblée à sr pieds por teniours, EL quand ell ke redrese, éolalant on applandis Loments frénétiques, il a récont
vense d'un sourire comme on tape. |
le les naseau$ des fauves quand il out bien travaillé, ° Jiumes de COQUET.
- : on mnnnemdennne À VÈ4 à eme von sun
CE. . 0 Une épitre à Herriot ren meer M
Un écrivain qui n'est pas ci tholique, mais. qui veut être franc: ndresse au chef des persécuteur culte charmante cpilre,.,.. Ecou tez bien: s i “Ja daicité n'est prétendst une sort@ de neutralit du ponvoir civil à PFégurd de religions ‘Fa licité, c'est le dog ane de Plrréligion d'Etat. Ta bi, eité, c'est Rx haine non pas à tou) le religion tu lisses tranquille le protestantisme et Le judafsmie | parce qu'en France, ils ne sont qu. [deux petites minorités mais la religion catholique, ‘Ea laïfcit c'est Poxpolsion du Crucilix 4 toutes les écoles, mème des école où toutes les funilles, tous les er fants, duus certaines régions de | France, étaient crovants et prati quants. C'est l'expulsion des ar môpiers des navires de guerre, mi ie quiutd des lrois-quarts de lé quipage ôtaidht composés de my. telots bretons pour qui la religio. détail une source, de moralité et un consolation dans les épreuves d letir dure vie d’hothimes de mer; t laicités c'est l'expulsion des Jésni les, sous prétexte qu'ils sont'ulli imoutains, alors que tu es. lallié -c le protégé d'un piuti socialiste in tepnational, ait twoins aussi intet : halional que l'Ordre des “Jésuites ti laïcité, c'est 16 choix entre ?. dispersion où l'exil laissé à de: Congrégalions de femmes et d'hon: iwes doit be seul crime est de prie et de se mortiflier pour coûx qu les perstegulent. du soigner grafui lement les maladies Les plus ve pugnantes, de donner l'exemple d : l'esprit de sacrifice à unc sociéi qui, sauf à quelques heures d’ht roïsne, verse dans le vlus immon de motérialisme; ta laïcité, c'es l'interdiction d'erseigneinent: infl. gée à toutes les-Congrépations ent scignantes v comoris Ces nâinir? bles Frères de Jn Doctrine chirétier ne connpe si Céinient autant d bandes de malfñiteurs; tn lafoite c'est ton Choutonps expufsant le Clurisses d'Aleneoñi ce sont les ho auuts hnti-catholiouces du petit Ha maie qho tons plaré à la tête « l'Université.” | ‘
mers natemennane ? PV ?
en
‘Combien coûte la Légion d'honneur
Paris. Les membres de la Li pion d'honneur, naminés où. proTnu dans l'Ordte, auront désormais, verser pour prix de leurs dégér Hious avec cérin ".S R € nrès: chevalier, 44 frs; frs: . commandeur, S grand-officier, 730 frs; grandiernis 958 rs, cime |
n . y :
CRT
as ce que tit
:
(ses et les écoles "chrétiennes, portionnellement ‘4 nombre
SEE
nos douleurs actuelles, la ersécu- tion qui s'annonce, Îés inquietudes ! qui nous tourmentents it dit Ja tier- té ct In sérénité de nos aies 18SQ1f- , fées du Christ et qui viennent lui |le bolchevisme demander Ja vertu de farce pour ki même cHUsé; LI Le des Juites qui s'ébaucueni; prou-}ses au mieux, JOUS DC réussirions pant les espérances de nos VOoCa- | ME reculer l'échéance de quelques tions,_les besoins deïnotre jeties- :annecs., Si au contraire, on donné | se ardente, les ‘nécessiés de nos sous de contiôte dit Douvoir civil." familles, de la société" de la patrie, guand notre République aura enfin il fit à Dicu Floifrande {otiue que une, tête les moyens aux écoles tous” souscrivaient de nos persun- | chrétiennes de lutter à: armes 6ga- nes el de nos vies. ° iles, à movens finaneiers CHAUX, = É ivec les écoles libres pensenises Vous
Les transe
le était jolie comme un coeur, ir.là, Elle portait }a vaporcu- iette de tulle brodé que Lucien
pro- de
u l'honneur est grand car Madame F. lun sanglot® Odette était-clle donc TT 1 évolue dans un cercle très distingué st mondaine qu'une invitaiion Com- CAN L KL C
et fort. exclusif, Cest une belle me celle-là lui fasse perdre MR tète? aubatne pour Lucien qui pourrait] “Non, non. ce n'est pas cela; é- ise créer des relations précicuses coute!” Ht-la tète sur Fépaule de” dans ce salon fréquenté par une son aimé, la jeune désolée fui ra- société choisie, bien que riche, C'est conte ce qui s’est passé, la. visite. donc tentant, mais si: inattendu,” : | de Berthe, la perfide interpréta-
Lucien explique. : L'autre ‘jour, {tion Quelle à opnÉe A elle Madame est s ifance si naturelle, les doutes qu'elle |Madame est venne au bureau dc; , rt il en
OR si . ; « ia semés, ct—hèlas! 1 faut Hien tout soh mari, le prendre pour aller ‘3 VE en tou he s ee : : dire, — Je trouble et les inquiétudes chez des amis. * Monsieur venait de; qiné lesquels cctte histoire Pavait constater qu'il ne pourrait s’absen- | hic eile, Odette ‘ ‘ er à ce moment à cause d'affaires | pu , .
BUREAU D'EMPLOI DU à a '
Vial
rien pour arréter te socialisme et ce sera cxaciement en imetcanc ies cho-
inc tant; dans ses cheveux un ban- denu d'argent; an corsage un frais bouquet de myosotis. | elic
, 1 Ainsi vêtue, avait l'air d’une-ondine et ses i
évidemment très riche, .
Pauvre petite Odette! La nouvelle
Pavait fort tourmentéc, Etait-ce
possible? Lucien la trahissait déji! Oht.mais c'est qu'elle ne se laisse-
sait pas voler son bonheur; elle
futtorait ferme et vaincrait sûre-
ment. Qui pouvait aimer Lucien
comme elle? Quelle femme sacrifice
rait ses goûts, ses rêves, Ses ambi- tlons comme .clle J'avait fait avec fant de joic... Au reste, les appae
rences sont souvent trompeuses, el
. Lucien, lui. m'avait jamais menti, D'un mot, il expliquérait l'énigme et l'incident serait clos par un bai: ser tendre. Qui, il en serait ainsi et elle était bien folle, Odeite, de se préoccuper des histoires de cette Berthe qui l'avait toujours enviéc et qui jalousait sôn bonheur.
Pourtant, comment Lucien grouvait-il dans ecte voiture? Qui était sa compagne? Où allaient-its? ‘Les doutes revenaicnt, les inquiéiu- des. renaissaiert, des pleurs ern-
| brumaient le clair azur des Yeux
doux. Que ferait Ja jeune femme? Quelle atitude serait {a sienhe, au retour, de son . mari? Saurait-elle céler ses angoisses? bouderait-elle? irait-elle droit au but en demandant
sention" : vue au Seigneur dont. les | toujours conduite par le même Pi- ROOn À < à N UE cer explication? Oh! non, non, pas SSLQUS Dropagent l'amour. Puis il lote— quelle que-soit la personne du. a nus da gidii Sur cel piere et al ans de 6300 à 5400. de profit.par mille.” Là aussi it ny a que la cela. ‘ Si Lucien n'était pas en fau- l'a désirée en hommage ñ PEglise, maine. qui le représente, — Jésus- li a donné une publicics qui met. font été trop Jonglembps les victimes. vaieur cash Qui SOIR Fixe, , Les pi ofits, CUX aussi peuvent varivé,
ais ibcest possible de prévoir ec Hs pot |
; |
te, il croirait que sa petite Odette marpas confiance en lui, et ça le
ginerait. Si, uu contraire, l'af- - freuse nouvelle était vraie, en hom- me qu'il est, son mari toruverait un moyen de dérouter ses soupçons et de se montrer à elle blañe com- me neige. -Berthe d'a bien dit...
voir! I lui semble qu'un seul re- gard sur le, visage adoré ealmera ses craintes où ‘confirinera son
» * tolic tite ariée: c'est EL: : sai : : s . ppalions. jolie petite ae et di 15 à qui Phonneur et la joie.sont dus {lu doctrine de l'Eglise, c’est Ia pra! rare nn Ù . 1 . 5 gi l | 4 € \
seure d’être raisonnable et diplo- lon ce. moment, Voyant cette syn-!tiquer, Cest.Ju défendre. secress, Le directeur du journal dé- La F . _ Uilututions les plus solides que nous avions au Gartada. mate pri ja fétiche conjugale est lihèse de leur. tâche, les missiannai- |. pe %e non CNIEUr a été arreié par les Or- ‘a France reste toujours la - a ti plus difficile à défendre QU'A CON !res seront consolés de leurs Jabeurs- , dres dû gouvernement et on Pac- Lee » a
uérir: et c’est à vous qu'il appar- | passés el ils seront encouragés Montmartre, c'est le coeur de} eusc d'avoir publié un daeument nation missionnaire = Bantiste. NN ais ci «leulant i tent de dissiper ce premier nuage |fevmider ce qui leur reste à aceome | Ja France de nature à nuire à fa sécurilé de Jcan-Bapiiste. Non, ais en le galculant il ne fault pus per- et de faire qu'il ne s’en forme plus. | plir, 1 a désiré que: lexposition PEtat. ‘La-dessus.. des quotidiens |, pre de vue, Et protection accordée "par 4 coniagnie,
PE: ; à : . A . + A : ‘ on ii ne h sp pré mani « a aus * CUS cols + LonrTais , s s in Cest. égal, Pheuré est bien lente À ait des sections scientifiques set lit- Paris, — La basilique du Sacré français sont à pou prés unanimes | Et le Jescph. Lun de ces soirs quand j'aurais Le Lemps, je fon à passer, cle à tant de hâte de site [iéraires non seulement parce que la | Coeur de Montmartre élevée au len- | dénoncér Hérriot commis un a! que des religieux franenis (ou ca: terni cel | ve
Fu ferais bien de ne pas v passer rop de
malheur. Une demic heure encore | que les missions rapportent fous l'éc" rééonnaissante, -es . dédie re ES GE e SE ! US k AUS ; -est devenne nn : +. CIRE sue nee el , ON CS À À à douter, à souffrir, hélas! Et Dieu] les frrits oui doivent en résulter. l'es. Heux de lord les. -p % de Ja mesure d'amnislir promise 4 nuissionnaires de Ja Société, ; altentait, Ecris donc aux agcots de La Suivesarde et n attends as sait s'il en passe des chimères en] Le Ssint Pére aanssi voukr celle! fréquentés, Paris, la provinrs jus. Cailaux. Les embarras financiers | /Aiavement les resultats oblenus plus longlenDer € est un risque que tu fais courir à tt famille, et
Î À ce n'est ni prudoul ni courageux. ° .
si petit intervalle, dans Vimagina- tion d’une feppme inquiète! 4 Enfin, le-ronilement Ge, l'auto an- nonce Parrivée du bich-aimé, OGdet- &e s'examine une dernière fois dans fa longue glace; il nv a pas à dire, alle. est jolie à souhait. L'autre ne reut pas être micux car, enfin, elle m'aime pas. Lucien. aufant que Ca.
“Et puis, ce soir, la fièvre de son
‘fourment intime mét,des roses nou-
Lelles aux joues de. la petite amou- Pere a terminé en bénissant l'expo- perpétuelle a SES dévots et,schaquel les groupes d'extrène gauche, Te pour J'Éstréme-Orient. Hi pour- reuse et fait briller'ses veux avec sition et tous Ceux qui y ont par- jo pPius où Moins NOMECUX, MON- fiasco du rapprochement uvee les lunut. des diffic Hés” Gnl DS uk ASE CL Ê ‘ S es he le tent vers le sanctuaire. de Montmar- |! sovicis russes : unpet +: aout, des difficuites M'ONT DHS HE plüs d'éclats. ticipe à un titre quelconque. tre des hommes, des ieunes dens soviets russes qui n'a SCT QU'A | que: la Ghiné est bouleversée par : La porte s'ouvre et deux bras ca- Aceempagpé de tous les meme ts a pics, es Jeures gens Lactver a propagande" communis- {fi guerre civile et Je brigandage: ‘ ce, +7 | 1. ‘ ‘ ‘ k bres du Sacrée Collège et du corps l cvant le saint sacrement pas- [te en France. . À'au Japon et uu Thiber, les: Len LE , ben, Lex À
gessants enfarept La jeune, ferme pendant que les baisers pleuvent sur sou visage, SUI SUN COU, SUP SCS cheveux. De petit noms tendres, tons.plus fous les uns que les autres, charment son oreille où lon a'versé ‘tout à Pheure, la perfidie du conte insensé. Traitee, lui, Lucien? mais
. æ'est impossible. Comment avail-clie
» croire t-il à àâche iculière important avec ses
pu le croire® Peul-it ètre Biche et | Uculiérement ant tv sp unns ape} £ LoicE de #i n he - ue
Menteur avec des veux larges et | reproductions Qi “miniature des s'ouvre derrière le maitre-autel, des | Sisnificatits I totalité des *départs? de Ja gran- | Envoyez mandait-poste, nous n'expédions pas €.O.D. ceux? Peut-it } principaux monuments, Un auire isénérations sont déi& venues prier. “jt Dieu! il faul que des é'ius de Société de lu rue du Bac. Gel _
francs comme £somper quand.toute sa personne
ad
set
urgentes. De plus, il s’apercevait qu'il avait oublié à la maison des Papiers très importants, Lucien s'offrit à aller les quérir; Madame sourit, proposa de l’amener dans sa voiture afin de gagner du temps. Le chauffeur passerait la déposer! chez les amis qui lattendaient, con- duirait Lucien à la maison de K... et le raménerait auprès de son pu- troh, (C'était si simple que lPidée ne pourrait venir de refuser,
Au cours du traget, Paimable fen- me fit causer son Compagnon, äp- prit son récent mariage. ct fit pro- mettre au jeune imari-tout heureux, de.lui présenter sa chérie dont elle veut gagner lamitié L’invitation était Ja conséquence de cette for- iuite cotrevue, Lucien n'avait.rien raconté à Odette afin de jouir de sa surprise, Est-elle contente? Gela lui plait-il?
Mais... pourquoi ces Huwmes” Que signifient ces inpétueuses cit- resses ct ces pardons bégavés dans
PR
Fa
_Le Pape visite l'Exposition "Rome. —- En réponse au cardinal Van Hossum, à l'inauguration de lPexposition des missions, le Suint- Dérer dit les raisons pour lesgucl Les if avait voulu cette exposition,
La dit qu’elle a été faite d'abord
dont les inissions Ini permettent d'être présente chez tous des peu- ples, iLFa désirée pour Phonneur dela propagation de la foi qui est les yeux, l'esprit et le coeur de VE- lise dans son travail de-mission. Sa Sainteté a voulu cetle exposition
pour jes missionnaires cux-mêmes
fatigue et, le sacrifice sont neces- suites, mais “aussi parce que Ta seienrs estin fispensable si on veul
exposition pour que les catholiques qui siennent à Rome pendant PAn- née Sasnle-puissent voir en tn jas- fant ve aue sont les missions, qu'is 4 intéressent et leur aident Sa Sninteté-vout d'abord que Tex- position soil une SOU cE dc nrières | pour les missions parce qu elles sont une oeuvre divine el que les moyens humains ne sônt pas suffi- sants pour les soutenir. Le Saint
distomatiaue, le pape à visité les salles de l'exposition. Tous oût Cx- primé leur admiration, parec quel le dénasse tout ce à quoi on s'at- tendnit. |
ontes is scctious. sont splendi- des. Au point de vus religieux, le pavilion de la Terre Sainte est par-
endroit imporlant est lacsalle des
nartvrs avec 50s nombreux mémoi-
pour de
[hôr amour.
, Jucien se lève, end d mains tremblantes Je joli visage de
sa femme et Jui dit grave | chétie, je taime ct naimerai que
prend dans ses |
avement "Ma
toi: Le monde est bien méchant
petite femme, et le
très offnsque son égoisme
s colombes come toi, mu bonheur des au . Je l'en
prie, crois ton mari, d’abord; raie
iconfiance ç
n lui et que rien du de- s ne vienne entamer notre cher Tu as ma parole d’honnè-
le homme que tu es mon unique tendresse, le seul but de mon tra-
vail et que:rien ne? que a confiance, - me crois-tu
D
Un long baiser
n'est précicux
M'añmes-tu, ct
plus passionné
| LES NOUVELLES CHEZ NOUS ET AILLEURS
Dom org mn mm cms
LD
LISTE,
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que tous ceux qu’ils avaient -échan- vés jusqu'alors est.la réponse d’O- dette qui retrouve son joyeux sau- rire. . ;
Et depms ce temps, toutes Jes Berthes de la terre n'ont pu faire lever en elle un seul doute sur la fidélité ot l'amour de son mari.
disions, durant Pété dernier, à en- viron güuinée cents marins anglais, réunis en cù méme lieu, en Natre Tournez-les veux: voyez, ja-haut, ecite, fresque qui représen-
présence.
Couur Sacré “c hommes”, | Et dans la basilique les théories
.Christ -Notre-Seigneur, Ie tout-pu sant Verbe de. Dieu.” Etre catholique, c'est s vers-Rome, entendre la voix du Pa- pr, at: lui obéir.
te la tempête en fuveur et les flots qui menacent de submerger une bar- j que Mais celle-ci ne s'enfonce. pus; tcile résisle toujours ct elle est tou- jours -victorieuse,; parce qu'elle et
is-
Al tourner
Etre: catholique,
évèques et s’y-conformer. fholiques, c'est enfin sinspirer de
c'est aussi écouter les directives des
Etre ca-
demain de la guerre de 1870 par 11 France pénitente, achevée après la grande guarrc récente par là Fran-
ranger, vicnnent sur. cette colline de Montmartre implorer laide du qui a tant aime des
d'hommes: de fenumes défilent cha-
{ que juur, à chaque fête solennelle, pieuse procession d’'ûmes lidèles,4
Mais la nuit .qui tombe n'arrèle pas
le Alot des pèlerins.
L’adoration
sent en prières Ja nuit toute entiè-
re
- Les paroisses de Paris, les ocu-
vres d'honnnes, les ceuvres de jeu-
nes gens on! leur tour chacun et
aiusi touté l’année une garde fran- La
“aise veille
cache,
le Dieu adorable "ct
Dans celle crvple del Montinurtre, duns li chapelle de Ja Vierge qui
Et dans le grand mouvement qui vers 1910 ,ct depuis ectte date ra
Et dans la basilique où jes cicr-! ges irouaient de lumière 16 voit- es envaties par Bi nuit, la lente procession se déroula de tous ces jeunes gens au-dessus des têtes dose quels flotiaient les couleurs vives. des drapeaux de leurs fédérations lct de leurs cercles. Puis le salut
du Saint Sacrement fut donné, le Cardinal Archevèque de Paris tra ea sur cotte foule pieuse d'adoles- cents le signe deJa bénédiction, Le flat des dévots pélerins Fécoula, tandis. que quelques-uns, délégués de, leurs ecreles, demouraient jus- qu'au matin en adoration, portant au pied-de la croix les prières et les offrandes: de toute une généreuse icunesse, Fi
TS men
Ce qui se passe en France
Le chef du gouvernement fran- eais, M. Herriot, sort à peine d’une grave maladie diplomatique pour tomber ‘dans une crise pofilique dont les conséquences peuvent être désasireuses, pour ‘lui, Son minis- tre de la guerre, le général Nollet, est un ahcien commandant de Pür- mée d'occupation des rives du Rhin. Or, dans un rapport écrit à la veille de son entrée dans le ca- binet du Bloc de Ganehe, le géné- ‘ral avertissait officiclienent le mu- réchal Foch dés agissements smili taires allemands. ncousant le 4ou- vernement de Berlin de tobirer, sino> d'encourager les afmements défendus/par le traité de Versailles. Un [tel document signé d'un tel nom est qu Lémoigmage “cfatani ae la justesse des vies hr etbinet Poineura ot Ja fistifieation de Poc-
Un journal parisien, Eclair”,
Herriot et Nollet durs une triste posture. En cffet, le cabinet He riol ant répudié Ja politique ux- térieure de Poinenré, on Hit dernan- de coment il peut aujourd'hui ! concilier. ec Hichage après avoir lui-méme avisé foen de 11 fourbhe- rie bouche ct du danger qué cowpor- faicnt pour la paix Jours armements
gresseur de En Tiborté de la presse,
Cet incident coïnciüe avec Je craquement sionifientif de Lente Ïa politique radicale: le demi-tchec
du gouvernement devaft les créar- ciers de li France, découverte des préparatifs de. PAllemagne en vue d'une agression nouvelle, le retour du gouvernement anglais à une atiilude.plus Fferrae à l'égard d'un cnneimi déloval, 13 puissante organisation des’ catlioliques fran- eais contre une segte ‘persécutrice, une rupture du plus en plus mar- quée entre de bloc ministériel ct
ER eme à ee LEÉS lon nn
Gustave Hervé demande jus- tice paur l’école catholique
Paris,— M Gustave Hervé, l'an- cien révolulionnajre. se vapproehe de plus eu plus des rathotiaues. Voici de sa plume un article bien
aicnt l'intelligence de comprendre et le courage de proclamer que Îles
cupation dekrRuhr. |
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sociale dévastatriee où Ia bienfai- sante et salutdre réaction, qui ren- dva à la religion pourchassée ct per- sécutée sa buwge publique.
leurs élèves, tout ce qu'on fera à } | | Î
ive ide refaire l'esprit et Pâme de” la France nouvelle. on: “IL faut être réactionnaire jusque- à, en France, où périr. °
rrez comme elles auront vite fait
a
"Gens mariés
Célibataires
Demandez hr main‘d'oeuvre désirée, mentionnant le salaire Faites application
due d'aprés vous mérite le travail, à ci , : sale Ja. plus proche “J1 fant choisir: ou, la révolution ale ap Û
place dans la Ré- “EDIFICE DU PARLEMENT,
ide
Le P.: Déncoeur parle à Lydn Se
bondée, 2,500 auditeurs sont venus entendre le P, Doncocur. 1,000 personnes restées dans la rue, ! * désiraient voir le.P. apparut-cpfin à da fenêtie ot fut: chalonrensement acclamé C mu, le Pére Doncocur lança quel- ques “Nous voulons I Hiberté par la
le droit commun”? Î . La conférence fut un tiomphal | succés, L'orateur fut présenté par:
jugérent bon de manifester leur op-; position en csquissant une conire-: inanifestalion. * ‘
ti
M, Jacquier, bâtonnicr de l'Ordre des avocats: “Ce qie nous voulons, dit-il, c'est fe seul droit à la liberté pôÿr Îles Français” jour suivant efui voté: mes, après avoir entendu le-P. Don- coeur proclamer le seul droit à In liberté pour ‘tous les Français, les sathotiques et jes religicux.… me les autres renouvellent leur ré-' solution de défendre jusqu'au bout : ecttie'Hberté qu'ils de la nature et tolérer qu’on Y porte la moindre ai- teiute, ct sont décidès 4 réchuner ! avec la derntére énergie que soient
La scrtic de Ja, salle se fit dans un! ordre parfail. É aux cris de: “Vive Doncocur!” dans Fenthousiasme., |
nadions ou suisses romands), vienit
€
sès ‘daus son “poiple rendu”
n
ph les iiésionvaires francais-onl été aussi satisfaisants, eu égard à jeur'insuflisance en ressources ol en personnel 7 7
population chrétienne qu'ils grou-
p
inissions, s'est accrue de 100: Je clergé indigène a gagné 49
u “€
blenents de Lerre ont causé des dé-
Si
partout, c'est Hi crise du personnel européen { chère, conire des conditions éro-l
n
contre Je fatigue ef Tes vides du peret sonnel.
n
Tvon— Dans ja salle Rinen, |
Plus de
ncocur, qui |
È ;
Trés €! Î
paroles, vibrantes A dit: ) Ja Hi jus-: cé, Ge quejnous voulons, c'est i
, Jeuën-Baplisie,
infaumations demandées que pour ni , lu dans une conférence L'ordré du “2,590 hom- qu'elles ne recevaient, : Puy a ccpendant que
CON" diminution où une ; “Lac T5 4150, assure le con tiennent'de Dieu, : AN 50. assure le cet e loi; de ne plus! : À nt- | vingt'ans qui catle ! l pius considécables. peut étre
solies les lois d'exception dant, ils | LR
sant sur ce qu'ils onl cité par je ‘passé. si
retirit ju 1! 16 pass Joseph. .Mais Pargent est-il sûr?
Ea foule” se , | j
- ‘ ! Comnté à Quimper, les sectaires
tées en fogee sans que Les iaty a vien à ernindre pt tes
|
... Jean-Baptiste. Lumps, parce que tu st assurance, C'est ln suraure, on ust toujours disposé
e publièr des statistiques curieu- ni. ! LL uel adressé ax évéques ct aux
Al, BONS AGENTS LOCUA
t
Au cours @u dernier exereicv, fn
de‘ leiirs evnires des,
ené autour , y
pOur VONDA: SASE.
nilés et 24 jeunes missionnaires sont embarqués, en deux départs |
Paris, — La Société des Missions ( rängbres de Paris, qui né groupe ; s
du Bureau d'Emploi owéerivez
UX. DEMANDES" | | : LA SAUVEGARDE
Pour infermations “adresser à | ._ Raymond Denis, agent général pour 'lOuest,
à
ront-être en se bi-
Love
à la succur-
| Bureau d'empioi du Canada
REGINA, SASK
n d'ouvre Com-
La seule Compagnie Canedienne-Française faisant de | lassurance-vie au Canada Bureäu chef, MONTREAL :
Buieau provincial pour PQuest, VONDA, Sask.
Tu ine demandais l'autre jour quels étaient les profits payés aux assurés par les Compagnies d'assurances sur la vie, ctje me suis procuré les chilfres, autant pour te donner {es
prôpre ‘satisfaction, J'ai faite en 1915 à PÜniversité Laval que dans le. système connu sous le nom d'assurance à vingt ans ofdinaire, les comupagules donnaient ordinairement autour de $150, de plus
la valeur de réserve qui-soit fixe, les profits peuvent varier, avec par exemple, une- diminution où une augmentation des mortnités qui onirainent pir le fait mème une augmentalion, des profits. : Mais ec chiffre de férencier peut Gtre-pris pour tune moyenne, Maintenant Las en déhors de cela Passuranre dotation “à te plus cher, mais dans Jaquéllé-les- profils sont . C'est ainsi que déenszcé dernier système Pon raisonnablement certain de recevoir au boul de vingt
FA |
dassuraueevie qui cut déjà Fail perüre- Pargent des .assures”?
Jéan-Baptiste, Aucune dont jaie cnicnqn parler. Jen est qui sont dispiuies, qui sont tombées, mais leurs affaires ont tir Lransférécs dans d'autres compagnies. el les” assurances sont res assurés n'aient rien perdu. À ce sujel
tit des He assurances vie SON parmi ls ins-
rriveras à disparalre avant d'avoir pris ton avande prüudic des gens par rapport à Pas
Joseph. As-tu calculé quel tiux d'intérèt ce rois où quatre cents piastres de profils par année peut-hien représenter?
b-
à allendre conune si la tort ellr
&
ù
istres indeseriptibles: aifleurs 01°
en “utte conkre la vie,
FOISSON BLANC BROCHET: .:..
omiques paralvsanies, 61 Surtout i | Cest La Fravce qui four: il à l'heure actuelle, à elle seule, |
‘est pus à dire que cés chiffres)
POISSON - POISSU
: JOSEPH PIROT
N
... -,.... BC En boîtes, F.0.B. Station de-Méota.
Ge
Domestiques |
CI
légage une telle impression de vec ROMOPS pos ere À : soient suffisants. pour toys les be.
droiture et de loyauté? Peut-il son | TES de iso TEE, ses reliques, j tie na l ëlile de Ja jeunesse de EF rab- [âmes des enfants à l'âge.de leur for- soins et surtout pour vetkper tou-
get à une autre femme ce. mari | el jcs LL ELU, Les UE oi catholique, tes guits dl o- | nation, ne peuvent pas plus se pas-| Les les places où les missionnaires COCHIN en fon, . SASK.
cui. dit de si jolis mots d'amour à u pommt de nent » OS UOFAIION 4 ALOREMAPITE GAL JOUE UR | ser de Ix nourtiture spirituelle quel étrangers se présentent aujour- GFPÉY' A, IT EU
son Odette? Elle était folle. vrai- | rollections _etnnologiques sont tes role important. Quelle émotion ne! sont pour celles les Lelisions que hni en gros bataillons. En TT AE ns intéressantes. Elles conticpnent des | nous saisit pus alors quand, pour [leur corps ne peut sc passer mm mme ; ee ne _ en
l'igute:
“peu mystéricus, qué .queique
ament, d'avoir tant souffert: et coi- .me- elle va le chérir pour expier ses mauvaises pensées de Paprès- midi!..
documents qui retracent it ge dés diverses races humaines, puis da barbarie des
de-
livres rares Cl
zaine
rent prendre une nail
la
le passa! ja première fois, i} Y a une quin- | Jin tie d'années une vinglaine de à a période eivi ! polytechniciens en uniforme vin-
garde
soin maternel où du
dait remplace. ET la
tuelle. c'est à Fécole, plus encore
‘Cependant, Berthe était bien sût- sé. IT ès Missions, Au pointt sainte, Leur geste simple, geste RTE que les enfants la ve. PT TT US ves-de ‘ce qu'elle disait... Et le 1° SOS on ie von Je eu-t A BRESIL SIMPIC, SESTE ent CH n'y à pas d'école neu-|À, . ‘ - cs ete ‘ec qu'elle disait Et le de vue médica., Le V4 les doeu-" naturel ‘de croyants. avait une haw Lire, va l'école libre Venseuse ‘où ‘ L ‘ |
“ cruel revient dans Pesprit dé la ‘jeune femme, pendant que
sbn mari est allé s'habiller pour le
diner: Maintenant, que la ‘magic de'ses caresses s'est un peu dissi- pèe, il semble, qu'il avait Pair un cho: au fond
#e d’inaccoutuimé Juisait
ments démontrant les nrocédés mé- dicaux pour soinner les maladiés tropientes et les épidémies. ?
Les Etats-Unis sont représentés dans plusieurs
missions. Elies Cx- posent une reproduction de ‘la: sta- lue du père Marquette. à Washing-
te signification dont
révélée féconde.
Defnièrement, fa basilique
a portéc s'est
ou-
vrait toutes grandes ses porles ct
laissait envalire sa grande nef par plus ‘de douze cents jeunes gens, étudiants français, étudiants eatho-
il v a L'école chrétienne.. La. pre- ivre, quelle que soit fa valeur mo:
tres, fait des aigris, des révollés on des jouisseurs, La seconde, méme si tous Ceux qui en sortent ne sont pas des prix de verlus, est seule ca-
"qu qui ete pourriture spiri-
rale et professionnelle de ses mai- |
TE | , DU | { PRODUCTEUR
Lo De
Poisson
! DÉS LACS DU NORD Loi A
onx brons ; nt : issi s (hi "epro- | ;: : 2 [bable de maintenir dans ce pars u-
des veux bruns. Mon Dieu! si c'é- lton., Une mission de Chine FeprO-L oues étrangers, "membres de R , Hi gir dans ce pays u
sait era ï un 6 it © ste complet. ° ATSEES), res QE OS he certaine Lenue + ini ‘
tit vrai... Var bonlieur, cette | duit un temple boudhiste ni ‘patronages qui répondaient à l’'ap- ASTTEN TART TNT NE ale, un mini- [pi È à +
fois, la pauvretie Jia pas le temps ‘de ressasser ses idées troublantes, Son mari a fait diligence; il est là,
‘JPous les visiteurs sont .enthou- siustes de ec que l'exposition dcur révèle, El reste’cncore 600 caisses
pel que leur avait adréssé la Direc- Lion des oeuvres du. diocèse de Pa- ris el Ja Fédération des Etudiants
de sociale ct un certain niveau de natalité.
“see TE . Si les élites sociales me s'orga-
pas du poisson qui a été gardé en entrepôt.
949 6 8€ bu cc AU: ? ! { CONSOMMATE)
PR SR LS
ÜR
Notre poisson ést gaïanii frais et de prise récente. Ce n'esl Nous l'expédions
“si beau!--qui Jui prend le bras | contenant! différentes collections | itholiques. i \hisent pus sur le ferraih politique . . ‘avec une folle affectation de eérè- | qui ne sont pas encore arrivées, “il fique A . pour. oblenir que les “eutholiques . par boites de | 00 Ibs ou 50 Is. monic. Il la conduit conduit à sa | Plusieurs viennent du Japon ct die Le préditateur de circoustanee, | soient traités. cn matière scalaire. . ns crie | . Lt OUX . “place auprés de la table gentiment l'Océanie. DES xt Beaupin, dans une méditation {au moins sur le même pied aue les : Toutes les variétés et tous les-assortimerits. : servie où ils dineront seuls comme %: éloguute, prenne bralonde, pré | ets DensEUSs cl nué le budget N _ dB pi . Mot d 100 lbs e vrais tourterenaux pour qui l’uni- . . HE âmes à I veillée d'adora- de Pinstruction publinue soit ré- TI 56 o River par ot . vers ne compte n Us. ‘ C'est vrai Le Pape et la Jeunesse catho:| ion. 11 présenta au Sacré-Goeur parti enire Les écoles fibres CDS $ . Pres sont marques de 78 iver par 10 t 6 ne Se gue Lucien a l'air drôle et quan lique _—_—— Poisson blanc nettoyé, (la 1b...:.,.....::.:.. 106
ù
mem nes ‘
ES D S, S. Pie XI à reçu les congres-
EXPEDITEURS DE CREME
::: 10
Brochet nettoyé, la Ib:......::............:. °6c,. Gros dorés ::......-......:...:... REA
Le
Si Mais il a Pair. bien: bon et sa | sistes de la jeunesse catholique dr 17.
gaieté a l'air hien franche. talie en audience privée et les & 167 ite saun s ée, le lb... roc t 440.
Ca ne doit pas ètre vrai.:... licités de leur bel esprit htholi: Truite saumonée nettoyée, ia 1. rrrrrnrrnttte “14c. 5 ie bravement sa servie 5: . : 0 no iÊ ee ... AC: Œlle déplie bravement sa serviet- | ques Nous prenons de nouveau Ja Hberté de vous rappeler que fe Mulets ronds, la 1b..........,....,...,,.....0 Ac:
Avec l'Eglise! Nous savons que. du fond'du coeur, avec l'impétuosi- té de votre enthousiasme, vous. à
le coût d'opération ét les prix que peut parer cette compa- 1 guie aux fermiers sont basés directement sur le volume laf-
L s
Faites une commande s’élevant à 100 livres ou. 50" livres de poisson comme vous le désirez. Mettez assez d'argent pour pa”
le sourire s'acceniue Sur le visage joutez: et avec le Pape, avec le Vi es tranktné D CR CE | 1. 2. E su jeune mari, Qu'est-ce cel? Une l'euire, le représentant de Jésus-l aires transigces, ounez votre 4ppui À votre propre compa- Î er aux pri arqués. ‘Un'va ’acent à votre Station. mel- carte élégante s'échappe de lenve-| Christ, avec lg continuateur de son "nt | de plu " Ve asser d'argent ( + Sue paye € ur d see
| ë $ à
oeuvre, à laquelle il a promis son indéfcctible assurance... .
Avec l'Eglise! Vous voyez comr- me on marche bien, quand on LUETS
sTucien G.... de leur faire lhon-”’! che de confert avec. l'Eglise. Vous:
“du soir” ‘
Odette, surprise, regarde sun .ma- menagauts. Et pour- _ ri RAGE Lee ri qui, cette fois, rit sans rontrain:} tnt. nil e..chemin Vous CREAMERIES Le ET | BIG RIVER, SASK. L Den . le, Mais elle ne comprend pas en- j'avez.. parcourn{, Et" pour tant ce ns … * <, Référence:--La Batique Royale, PrineiAlbert, { a
care, nes mariés ne comraissent pas.
, L
4 Lot me
L'invitation vient de la fem- ue du directeur de.G, que les jen +
leux ou trois jent si troublés "si
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Avest-pas la tempête qui vous à vain aus, cust vous qui vez : VAIRCU Ja dempêtes nn so
+
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(Al guic. Nous garantissons pleinement un niarehé an tugeux. oo ‘ Hpédicz rolre erême à Unis de nox 27 crémeries el vos ,veufs, volailles cf beurre de ferme à’ notre.cntrepôt
frigorifique le plus rapproché. :
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letire a
‘tez assez d'argent en plus pour payer le transport d'avance. :
Ecrivez votre nom et adressé bien lisiblement.et adressez votre
es Ltd
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ACC cc. : Centres Franco-Canadiens SERVICE SPECIAL DU “PATRIOTE DE L'OUEST _ roi Te es : Al Le VERWOOP, ask
Soirée” ‘ "LE 98 décembre all soir, teurs de: hist 5ç
4e Dos dues institütri: | - “) A, Bauire Gagné, he
\rtle Jedie le de Féeale du village
Le renpiaee les a-
réunissiie nt it
Bic print Le «rt M Gage, a él ja safe de Lourite Aicause de ARR inspeociour par le; la grosse iempôte, Passislanes n'é- î er ne d'étucation. 4 til” pass Lrès. hômbreuse, Cepen- AH ne ovide Hésautets sont} dant où s'amuse ferme et chacun El Le el Ni ee dns fi Province! travailla de son mieux pour décro. IPTC AT HN serons. sie, retour! Cher un prix El de oué UE du mois de nk 1FS, à , 1er rix des Dames donné par Es all» r ne Georges” Tarcotte, | ARE. Surrazin, fut High par Me du. et Ter les têtes chez léur$! Geraine, :Douillard; 2e prix, .don- ART Te el “Peterson. | hé par AL Le € Curé, décerné & Mlle parts il Ve Dents, de Krvdor; Annelle Gagné; 3e prix, gagnant, 1. Li Lienribours, Mile An al lé Laurence Douillurd: Lrix ue Prei il istitutriee #7 Aibeëts | encolragenent, pair Mile. Blanche Getie Hole bare Houle, cectésiasti- Pelletier: “ler DEix des MESSÈCUTS, ville. et M eue des Jésuites d'Ed- donné par M, J. Braccy, décerné à qe au el en visile chez Mes-| Med. Collins: 2e Prix, donné par monton. Ne labonté et Adélard Hou- M le Curé sagné par Herbert ion des Foles, Krinkie; 3e prix, fagrant, M, Lo- Re, à Dove ue Adrien Bremier, de. ber! Dupuis; prix d' CHEOUTARE- A Mie Maria Ménage, de ment, Vicior Sanders, : Leckfort élnient en visite” chez 1 v-eul eéhant cl ninsique. Les re. St rie celles de cette: polite soirée furent qe PTS les parties de. Eoc- | de 28,30.
Nous 0 ; x les diuinehes, entré deux SONDE UUX, paniers, l*
ours Jocaüx. Ce sport Li souper aux paniers, annuct at- , populaire dans no-°ra lieu celle année, le janvier, . edit salle de Lourdes. Ty aura
NU tot quhs d'anttl A ever ré
ire locale.
LE rer , .
TT
2e Pour les longues L ER Soirées # | de l'hiver
.Des ‘livres qu'il faut lire.
4 À LR
«
-u ni : € A x VAR
ous sommes. heureux d'offrir ‘aux lecteurs du *ariols plu sieurs livres et brochures de grand intérêt à prix réduits. ‘Profitez de cette aubaine. Fous ces livres : on expédiés franco...‘
,
L'Appel de la Race, par. Aloñie de Lesires
:
, 92 sous ;
Pélerins de Rome, par Ernest Bilodeau 75 sous.
Le langue et les na
tioralités : au Canada, | par un. Sauvage
20 saus | à Brochures à 10 sous; 3 pour 25 sous à: la etc, R PL . Lalande, S. JL l En face de la persécution scolaire au ManitobeLes L pure Le l'Eglise et l'état dans leurs rapports avec l'é cokr,--Crs doux brochures. p5r M. l'abbé J. Ad. Sabour ï nm, D. D. . | _ É ik ; Chansons canadiennes \ Refraius.de chez nous, 10 sous Rofrains can nadiens, FO sous COMMANDE TOTALE POUR TOUS CES LIVRES ° E T BROCHURES, 8225 + / } Adresser toute command de à à * | L'A DMINISTRATION DU PATRIOTE, il Prince-Albert, __… - mu Lu TL annee 2 cet me ne ne mms men cnne cf }}
jme AA EAN TT QE AOL EEE PT: ÉTÉ RPRRET EE ne
Aux hommes qui sentent leurs forces frent de maux de
décroîfre È sou ” reins sont récomme anclée es les -
“Je souffrais de: maux de
reius depuis une eonpled'an- | -ucesi j'avais aussi des dom leurs de côtés, ua. digestion -11 incommodäit et j jcmesen- ais. fatigué tout ke jour; le soir surtout j'étais. harassé.
Les Pilulés Moro me furent. alors récommandées -par un compagnon de trav ail et je suis heureux de les avoir employées, parce quelles nront fait vigoureux, iort et dispos cémime aux meilleurs jours”. M. Pierre Moisan, 62, Front, Sherbrooke, P. Q.
di | : “Les reins eñ bon état doi- | vent clarifier le sang et lui. .. Péruettrede porter dans tout. Porganismsg ses: principes vi- ES Gants: mais Jorsqu'ils sont - faibles ot malades Jeur rôle. est renversé; alorsiles dé- . Justion ue sont plus rejetés s par. les urines du sang (envalissent 168 tissus et font par- Lt eus rava ges. Les n at ‘dé reins, de côtés, les dou- leurs daus les £ rtienlagions, d ans: les épaules, les bras, les Muscies iront. souvent pas d'autre. : Qrigine. . Les Pilules Moro, qui font dit: £atig Houveati} préserve ent les: hotes.
de toutes ces: souffrances. ñ : Les Pilules Moro sont ei ñte chez i tous es m réhañids ‘de rém des.
" ENVoyong aussi par, la ‘pgste, au Canada etaux Etats:Uais, eur réception ‘du prix #1 sous la boite. ‘ 2 ;
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chois de 14 coms et Li: "5 EL ” OS
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Sk-Dénid, Montréal.
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partie de caries et Programme mue | vées porte l'achat d'un orgue pour | notre église paroissinle, Tous nos “unis soi cordialement inviiés, Un ragnilique prix sera dounë au plus, Pur enchérisseur de fa veilléc.. ; lg La évérende Soeur. Vidlérié : St. Jean supérioure provinciale des tilles de la Croix. était de passage au presb\iére-n semaine “dcr nière,. M G. Thughian est: alé, vuir sa Foy paré pour un voviage d ‘ffaire à Monture à ol Maple Creek: : AT. el Yiue Léonard Johnson sont allés passer les fêtes de Noël aux N\ aisance, M. et Mie Je D, Q. (uyer, une Fille baptisée Gus les noms de Mn- ric-Yveite Parrain et marraine, M. ot Mme Ludger Douillard. En janvier, niésse à Verw ‘ood, ‘Lous les dimanches à à 10,30 hrs Le 5 janvier, fête de PÉpiphanie, la messe 4 élè dite à Quantock à 9 hrs ot à Jocville. à 11.30 hrs. mariage — à là chapelle de Jocville de M, J Lalonde et de Mlle Berthe brérontaiis ‘ # nn fe PRUD'HOMME, Sask. Assuréne nt, s'tinuse fernie, Dimanche 4 janv. nous assisiions à une séance vé- créative donnée pr les amateurs du villge, Le programme suivant ut exteuté, avec entrain: par Mie A. Préfontaine; Pierrot je avandréeilalion par M. De Marge- rie; Le bonnet de colon, récitation, par Mile Unitiy Baril: L'été de In St-Mariin, comélie en 1 acte: AM Noël, Emile Préfontaine: Madame Noël, Mad, KE, Préfontainc: Mme EL “breton, servante, Mile Emitin LE \- rils Les Sabots du Diable, en° 1} croistdes, Le diable, Mie Ban ( che: Masson: Agnelette, Germaipe Budoux: le petit Jésus; Mlle Loise Lafrenière: Diunés Herman. Mie Bernadette © Bari: Catuche,
| sien Les recettes scront cmplo- "Éebrs. - mère dangereusement malade: Etats-Unis, Messe,‘ 1.0 7 janvier, à 8.30 hrs, mosse de à Prud'hommé l'on Les caprices de mon petit frère, Brigneville, Armand Hoscheits M, acte. Far scène se passe après les Mie Augustine Maheux; Pagnerine,
| Mile Lvène Baïils Magüclone, aille | 9, Evelige Mahoix: Lucinelie, Mile | Eva Painchaud: Quatre petits anges ji FMIleS Marguerite et Géneviève Nor- |. nfand, Marguerite Lecor, ot Rose- Anna StPicrre, * Grand'maman Fanchon -- chant par Mlle Anteinette Blain. , (e) Canada { té + 4 + nee — , MARCELIN,.Sask.
Te jo wi
ouf avions le jour des Rois au
CES
SRE ET
Une page
_Missidns des Prêtres de Ste-Marie dans. l'Alberta
(1904-1921) SORSORT reflète Halkirk et Caslôr. Acecrois- Le Père Leconte coustratgil sement continu du notifire des ea lruisième église à onsort, pes tholiques: désir d’ avoit son église, \iflage situé à environ soixante! Mais où attend que soil fixé le site juillés Est.de ( Castor, dans un dis- Pins de In vilr. Conso su licl très favorable à la culture du Ccnstuil à & milles Est. de Hfinai- Di. . Oétait au iuois d'avril 1909: sau Connor. ‘Centre’: ‘conmnerciul, die D. . Leconte alors résidant à Siet- il devient du ième cou éentre re. ler avait appris de MM doséph livieux Commerce 0! religion, qui.
ot Donald eclie. nouvétlement ê- bis dans ee district, qu'il v avai Lt deux où trois fanglles “atho- liques &t que Pendroil èfait pro- piece au groupement des colons, C tait à ceut-dix milles de Stet- Lkller, cl cinquante milles de Linas- “ville, le point exlréme de nos. mis- sions d'alors,
Üue canmtpague d'exploration cl
Ÿ Mais pour un Mmissionpaire dans LR Ame conne Pébit le Père Lecon- 4
le, la distance compte peu. Muni de aus les rénseignement HÉOoptit- phiques ei cthnologiques, que pu- rent fui procurer Be, le D Laonie commenvait éunpagne doxploralion,
Pasti de grand malin de chez M. Jos, O' Lara à Lindsville, il ê tait à uidi ju bureau de poste de Cas- levville, Au- delà, les maisons étaient
rares, cspaucées {ous les six où litil milles. De ef de à, des campés sous la tente, A a tombée le Ja nuit. if arrivait chez M Con- aor, une bonne famille catholique. réccHnent rencontrée à Stettior: H'ävait irouvé Four inaiso1) SATIS dif- Heulté, attendu quau-delà, n'y avait plus ni colons ni iuaisons,
A, Connor Gtait justement parti faire sés provi sions à la ville voi- sine, e.-h-4, à pontdis milles. Par .conire, “plusieurs dtrangers en quê- te de terres avaient pris, gîte dans celle maison ponr fa puit, Le fon! demain, de Don Malin, “ils s'en- foncaient dans I prairie inhabitée à la recherche du “homesicud” de leur rêve, pendant que fo Pére se: prépa irait à célébrer Fa messe, Un jeune alholique du voisinage. Pat,
Lee, composait loute Passistanee ‘avec Madame Connor: Le fendu | main, guidé par un aulre colon, A Gnilfoyle, le Père visita ce dise triel vers lequel par fa suite dE. riyon ses colons, , : Secontle visite en inars 1910, Get: je 1OiS, de poste du nom de Valljosun ma- gusin ct une dizuine de nouvelles familles, Les Leslie. Bibby. 0'Bon nel, Dear Piece, MeDougal, Caro- Jan. ele, ous Pexcellents rhrétiers ut désireux de recevoir de tenips en temps in visite du missionnaire, 1 fut cénven. que Hi: messe sernil dite tous les deux pois, chez M. Connor, place centrtle,
; Comment e.el religion
Un ‘an plus fard, fa inaison était, devenue insuffisante et on passa au! | « “Sanderville. Hall”. nouvellement {|construit à deux imillés: sud ? de { Pemplacément ‘actaul "de Consort, [Cependant LE 1 doux jours, de. voiture à Paller ‘et autint. au ‘rélour: ayec le temps, puesé Sur place ft fAtait compter une semiAine € Pabsence. .,
De même que:les netites villes de l'Ouest se ressetblent : toutes. “de inême aussi nos missions ont"
sa |
| |
| d'une mission dans PEst
colons ! Président de
Je'Père Dronvail un bureau”
Lournée supnosaÿt |
‘
VX n LES DOULEU à quis ! Eo JUULEL Ë £ chine" off, Feb de ‘ NRA FT nn > 5% 7 | A De ne DDS F' E COFES | “| Ua ET UE GUi Lo ; # >;
. = œ 8
|. y Cssent en pre enant Ë 6 jours pour l'Angletereo via à
. 8 ÿ £ Fmeuth ‘ &
! e Composé Végél al de S ‘Si vous allez en Fr: ance, pre- 2
Dore Lydia Ë. ! Pialhen E NCz un bateau qui vous y: Ë.
& débarquera directement de È 5 to Fe "*
Pusilier, Saxk, —“Souvent, durant | Ë la passerelles vu NT qual È
deux où trois jours, j'avais tant de SE Lun uvre, À 3 hou. €
| douleurs dans le dos et les côtés ES seulement de Pas, | ‘5 a Que je -ne pouvais rien ‘faire—même . E Vrance, 4 fév, 28 fév. 11: È
. … D. E620P pas Me reposer paisiblement, et j'a. { =. Ut MT É
. u y NS à | vais aussi.mal À la tête, Cela que LE, Ds : og ‘os à
Pêr, frais ef: -Satistaisanct be € Vén des ER paquets a environ trois ans, mais ce fut | £ Pari 28 fun, 28 murs, 25 ET pire après mon Mariage. Etant syr | £ Ë
9 si ; 6 sta ] LA = d'aluminte in—Essayezele, e une ferme à 5 milles de la maison-kK = .Paqueboté à une classe Ë ES . [ES plus proche, et personne pour me, | Sup, New-York—Havre-Paris à ss useilers Mes garents vivant au LE La Savoie, 24 jan, : 25 fév. È
. , avt SEE : +. Ma bhella-soeur Œ* : oise
soir une partie de cartes tu profit instructive conférence sur “L'en-| du Composé Végétal de Tade T "5 HS. mit” IR fév 46 ni is, . È de notre Association sportive, Ce séigtement Classique et la Supé- Pinkham et me dit de lesaref. i E° R y9- “ v. à fui QU sUCCÈS come t toujours, StG0, ! riorité de lu Catture Latine”. J'ai: suivi son conseil et depuis, | Ë Suffrens 22 avril, "27 Qu à pour nos ports ! LE iveutt Les Chevaliers de Colomb ‘del lui eu: “suis + reconnaissante, Après - 1 5 Rochamhenu, 17 juin,.16 juil. E M. le qusique rot Se du ne DT | Gravelbourg ont offert ‘au. Collège avoir Fe le, remède trois mois, je. | = New-Y ork — Vigo, (Esp). à lropolit: nes du ai u par le Na le don de 875.00 pour Pachat def puis dire qu'il m'a beaucoup soula- | À Bordeaux, Ë York, oh! non nolehient Le SUN deux “Anges Adorateurs” pour la] gée, et je suis bien: Je suis fière | © La Rourdonnais, 9: fév, 23 É clin. elle SO eve l'enth ut seat nouvelle chapelle de l'institution, le recommander le Composé Végé- Ë 2 MATS È couitie d'habitude Mo ra tiasine LesAutorités nu Collège ont re- | tal aux autres, ef vous pouvez pue. | à Roussillon, 2 mars, 13 avril: Ë une sf'habit de, D 1 eur node Len de M, l'abbé A. Murray, chan. | plier‘ mon témoignage, Mme He-"| 5 Chic si 17 re lait, "Mon ieur D An us on eelier de larehevèché. de :Régina, | Jen Balanor, Fusilier, Saxk, Ë ienxo, nil" 17 soût ‘ Ë de sa belle Vois Un muvou, Le don d'une magnifique collection |, Souvent une légère: indisposition |, = gi Ten Hieñ. “à chant, ef Thérése MeLeod ne pe “le Cartes Murales et Tableaux LL | dérange tout le.système. Les sympe |! à d'E rie à fatifas È tie de 8 ous déchnae De [lustrés des scènes les plus impor. | 06 tels que Ia nervosité, périp | Scrrone à Malfax Ë Me à Ans. ROUS del RE | La ltuntes ct des lails- d'armes les plus | S douloureuses, irrégularité, maux | E Agents lneaux à P-Albert, È I tre Quel naturel ? avec | héréiqnes de l'histoire du Canad de dos et de tête, sont l'indice de | & Gérant à une distineli te te "ot d'ar | $ san, | È E M eue CE larti- particulièrement de l'époque tran: { faiblesse féminine, . Ë W. A. FOURNIER £ culation parfaite, © Une scène co- aise, i Les femnies ainsi atteintes de- | Ë A8 rue Main : : Winuniper © mique. donnée: Dar M, Adrien Ane- AUX uénéreux bienfaiteurs men. vrajent -essayver le: omposé Végétal Ê ‘ tenu RIDER & til el accompagnée par Moutsientr tionnés” dans” celle chronique, le | 4e Tdia E "Piukham, qui en à &ou- En NE
Carson amusa tout le monde. C'é. il de Pimprovisation. Done ne ‘demandez pas an clroniqueurs 4e vous analyser le sujet, :
À a fin Monsieur le Maire re. Merci tout fe monde pour le dé- Vouement et la générosité montrés en celle cirronitance, il n ‘oublia qu'un keul dévoüement, le sion, heureusement qu'il fut releve par
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on LU ps normal ont-Pun pour Pau- ire peu affinité, semblent s'être rapprachés à Consort,: approrhe- ent heureusement el uniquement extéricur, Au roz-(le-r Paussée, © est ke négoce. et de te vre à Lerpe des ini térèts te mporelss à Pétage sn périeur c'est le spirituel et ses envolées su- blinies: religion el commerce a- brités sous" le même fôit se pré. tant pour une lois un gracieux eon- cours, 1
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L'éalise St André
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Donc, la question d'une. | éutise devenait de plus ‘en plus urgente.
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terrain, Hier les gens oùt gti éprot- vês var bi sécheresse “el li gelée. Que faire ? Par bonheuf, en jan- viev-19{4, Le {Leconte est'chargé | Lei pro- fite pour visiler, à son passage à Pore Burke, alors Fa “Church Esten- sion”, le bicfaiteur de son église , falkirk. Saas doute le’ mission- Luuire était doublé d'un excellent di- vlom: fe, et d'un avocat persuusif,
car, “quelques sumaints Après s0n rütour dass l'Ouest, Le RP. Burke | lui transmetait tn chèque de KA. | pour l'érection dé Péglise, de Con. sort, qui devait porter {e-hom du St André, On devine que le P,
Leconte ñe perdit pas de’ temps.’ 1! Visite chaque famille catholique et | bientôt I a ep main une somme de 1S1100,00, suffisante pour la cons.
truction de l'exléricur de église,
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au} Bourx en place de M, Alph, Beautien sortant de charge, Avec M, ont la commission sco- aire de Lafléche sera encore cel. le année composée de bons ot dé vaucs" patrioles @t nul doute qu'ils sauront faire du bon travail. L'élection des marguilliers de la paroisse a eu lieu le jour des Rois et MAL T0, Neil et Ernest Cotpron sortant de eharge ont êlé réèlus par acelamalion.
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— La journée du “Patriote” à Montmartre eut lieu le 4 janvier: elle a remporté un: vif succés ct se termina par uhe belle -soirée de cartes au soubissement de Péglise, La fête éluit organisée par Îc co- niité de LA C, É. GC sous la direc- Hon de M..labbe Arès. ;
Un magnifique programme, de chant et musique a aussi éfé exé- cutë avec SuCeLs: et vers la fin de la soirée, M. l'abbé Arès'en des phrases -souvent couvertes d’an- plaudissements, parla à“Pauditoi. re de l'oeuvre de la Bonne Presse, Les prix pour les cartes furent donnés par Mlle Mix Goupat. Mme Jos, Charretier, M, Lud. Lévesque, Rév. A. Thériault, et A. T. Breton, Les tirages des divers objets étaient en charge du Comité avec laide de MBes Ecarnot, L, Faubert, 1. La- voie, Le prix d’uñ abonnement à vie au “Patrioté” a été gagné par M. Em, Breton. M. AT. Breton qui diri- gea cette soirée avec tout le tact qu'on lui connait remercia: l'audi- toire et termina par Île chant de. #0 Canada” cette belle soirée dont les recettes dépassent de beaucoup $200, et démontre que Montmartre | & figurera avec honneur dans l’oeu- vre de la Bonne Presse,
M. P, Sauvé a été élu à l’unan-
| |
nimité syndie de Ia, paroisse en
remplacement de M E.. Coupal sor- tant de charge.
De passage: M. Jules Man, en. voyage d'affaires chez M.
AT, Breton Mr. Potvin de Ponteix chez son frère, M, P. Potvin.
—-Le train du Can, Nat, allant à Pouest passe maintenant à 8hrs du matin au lieu de 9 hrs,
—À l'assemblée annuelle des con- tribuables de. PEcole, M.-J, Bte Fer-
raton a été élu Commissaire d'Eco- ie pour lc district de Montmartre ‘en remplacement de M. Wii, Cou- pal dont le terme était expiré,
À la mème assemblée les contri- buables passèrent une résolution nommant le Rév. A. Thériault, A- T. Breton et A. J. Boyer, comme comité de vigilance pour voir à l’enscignement du français à Pé- cole. L'assemblée a aussi APprou- vé. l'envoi d'un délégué à Ja con- vention,
— Un joli mariage a été célébré le 7 courant: M. Thomas Rivard conduisait à lautel Mlle Yvonne Beaulieu, fille de M, Ernest'Beau- lieu, La bénédiction nuptiale a été donnée pas M. le Curé Thériault en présence d” une foule de parents et amis, Le choeur de chant a aus- si exécuté avec succès des canti- ques appropriés, Mile L. Baudin avait charge de la partie musicale. M. Ernest Beaulieu et Jos. Duhamel agissaient_comine fémoins, Après un déjeuner servi chez de pére de la mariée et le souper chez M. Jos. ! Duhamel, les heureux époux sont partis pour un voyage avec sont | moilleurs vocux de bonheur, A! leur retour, ils résideront à Mont- | “marire.
d
BB ————
ST-VICTOR, Sask. | La belle fête de Noël a été cèlé- |
brée avec une grande solennité à Saint-Victor, Les paroissiens sé-: taient donné la main pour décorer l'église avec goût, T1 y a eu plus de cent vingt cinq comimunions, Voi- } à un beau geste qui réjouit Île coeur de Dieu et honore les parois- siens. Les Dames de Ste-Anne et la Ligue du Sacré-Coeur ont donné un bel exemple d'unité.
Nos beaux cantiques tradition-} nels furent très bien chantés, par
le choeur de chant: M. Ile direc-! teur, M. Beauvilliers et tous les membres méritent des remcreic-
ments et des félicitations.
—Nous sommes heureux d’ageueil- |‘ he parmi nous, M. Liguori Pépin, qui vient ‘de prendre dir ection de | lPécolc Montagne Lake, “M. Pépin est originaire de St-Wenceslas (Ni- colet)}; il a fait ses études classi:! ques au Séminaire de Nicolct et ses études pédagogiques à l'Ecole normale de Montréal, De plus, nous venons d'apprendre que le Département d'Education va lui ac- corder: incessamment son diplome permanent, Nos plus sincères fèti.| citations et nos meilleurs voeux de succès à ce jeune instituteur _dé-} voué.
Naissanece:— Le 30 novembre ce, xl et Mme Paul Campagne, une fille! baptisée sous les prenoms de Ma- rié Viola: Le parrain et là mar- raine ont été M, Pierre Campagne et Mie Bart de France, représen- tés par M, Lionel et Mlle Béatrice Bélisle, de Saint-Victor.
- Mariage:— Mercrédi dernier, le!
janvier, \L Dosithée Lalonde, N. P. conduisait à l'autel Mie Bertha
Préfontaine, de Jocville. Nous of- frons, aux uouvenux époux nos | voéux de bonheur,
COURVAi, Sask.
;
Depuis les premiers jours de cé- | cembre Îes tempêtes se succédent ! ici, Le froid ele vent sont inten- ses. Les cérémonies de Noël à
4St-Charles n’ont pas. été cette. an-
uée aussi solennelles que pur le passé vu que Péglise n'est pas ter- minée, mais il n'en n’est pas moins vrai qu'elles avaient pour tous les assistants un câchet particulier de piété et de recucillement, M. Pab- bé Thibeault officia.
-M, Gérard Béauregard, étèr à du collège de Gravethourg et M. kuu- de Pépin, de Moose. Jaw ont DE | les vacances dans Jeurs familles, leur famille pour la vacance,
Mile À, Bélanger, notre ins- titutrice est partie pour. Lévis où! elle Li jSCrA Ses vacances, -
M, Alfred Ke Hilaire est à Vic- .Qué.. depuis. ‘quelques jours, en visite chez sa mère,
— M Wilbrod TFremblav
‘ou-
PT, S : Fo
Les Centr tres Franco Canadier ens
SERVICE Soecrat: pu PAÏRIOTE DE L'OUEST
K Frass et Louis Duhamel. |
Deschène, de Dunrea,|
| triste occasion,
ichez leur père M. Emile Richard.
RS
FE.
WILLOW BUNCH à. Bret,
Mariayès : k
Le 30- déc. sunissaient dans les iéns sacrés du mariage, ‘M. Wilfrid Audeite d’Assiniboin-avec Mlle Al- bertine Roy de Willow Bünch et M. Albert Desautels avec Mlle Ber- tha-Ayotte, tous ‘doux de” celte pa- roisse, Naissances
3 janvier, M et Me J, Duper- reauit, un fils, leur 1%émc enfant,
“baptisé s sous Jes noms de Joseph- Maurice, Maveel. Parrain et mar- raine: M. et Mme E. Boucher.
G janvier. Soirée du ‘“Patrivte”
M le Curé de Willow Bunch, sa- tisfait du résultat déjà obtenu le 8 déc. mais désirant faire encore plus pour aider le “Patriote” or- ganisa une autre soiréc Île jour des Rois. Malgré l’inglémence de la tempéri iture, la salle était pleine. Les paroissiens de ‘Willow Bunch par leur assistance et leur généreu- se contribution ont montré encore une fois de plus qu'ils avaient ‘à coeur de soutenir cette oeuvre Da- tionale et réellement vitale qu'est le “Patriote de l'Ouest”.
TE le Curé de Willow : Bunch ;
allé assister aux funérailles de
Mur Gaire, P.D, curé de Wauchope, | 5
M, l'abbé A. Ouellette, profes- seur au collège Mathieu de Gravel-
bourg, est venu passer ses vacan-|f
ces au presbytère , de Willow Bunch,
“8:
RICHARD, Sask.
__Nous sommes au regret an- noncer la mort de Mme Honoré Bi- cotte survenuc le 27 décembre «- près une maladie de quelques mois. Son service et sa sé ulture eurent lieu le 30 au milieu d’un bon nom-
ee È
bre de parents et d'amis, M. l'abbé |$ Belleau officiait. Outre son époux} elle laisse neuf enfants de san pre-|f
mier mariage avec feu Thomas Bérubé, Ce sont Wictor, de St- Pamphile, Qué, Mde P. Labrecque (Henriette) de Richard, Sas, Mme À. Sévigny (Marie) de New-Bed- ford, Mass, Mme Arthur Taillefer,
(Victoria) de Domrémy, Sask., Sr. ik
St. Thomas de Villeneuve (Mavie- Anne) des Srs Ste-Croix, Montréal, Joseph cet Antoinette de New-Bed- ford, Mass, Thomas, de Bangor, Maine; Adélard, de Domrémy. Ua frère, Joseph Bélanger de la rivié- re Ouclle, Qué. Une soeur religicu- se du Bon Pasteur, Montréal, ain- si que plusieurs beaux-frères et belles-soeurs, La famille rémer- cie tous ceux qui leur ont témoi- gné quelques
Naissance: ‘ À M, et Mine P, Labrecque est né un fils le 28 déc. Baptisé par M. l'abbé Belleau sous les noms de Joseph Alphonse. Parrain, Adé- lard Bérubé; marraine, Mme Ar- thur Tailleter, oncle et tante de l'enfant. : V'isiles: - Mlles Bibiane ét Yvette Richard n visile pour les vacances de 1 oël
4
e
Mine Grosjean, de Delmas, chez ses nombreuses amies de Richard,
Mme Arthur Taillefer de Domré- y passe une quinzaine chez sa soeur Mde Labrecque,
--- Gérard Labrecque, étudiant ati Collège de Gravelbourg est retour- né après, les vaances. tandis que Ernest Beaulne, Sfétudiant au mème Collèse.'est retenu chez lui par Ja maladie,
AIR Sylvestre Cyr et son frère en visite ‘chez M. Philippe Cyr, leur frère, pour Noël,
————— , se: — ALBERTVILLE, Sask.
—La messe de Minuit fut célé- : brée avec beaucoup déc at. Pres- que, toute la paroisse s’approchu de
l'able Sainte,
4, ce dimanche précédent les ac- teurs de White Star venaient nous répéter leur séance qu'ils avaient jouée ehéz eux precédemment, La Salle était remplie pour les applau- dir. hs surent nous atiendrir par leur pièce tragique et nous faire beaucoup rire par leurs comédies. Ïs mér itent des félicitations et pour leur succès et leur courage à Dra- ver Ja distance et le froid à pareil temps de FPannée. A, eux donc un merci sincère. .
—L'année qui s'ouvre icliu dans le deuil nos familles Pellerin par Ja mort subite de leur frère bien- ajué ‘Stanislas, ‘Vendredi le 2?
a- près-midi 3 alla se reposer vers les trois heures ct comme on alla pour le réveiller une heure ou deux après
on constata sa mort, AM. Pellerin avait estime’ de tous. Pavlait chrétien, ligueur modèle, sans bruit, toujours souriant, ct sans, déranger hersonne, on peut dire qu'il est par- ti de la même façon, Ses funérail- les eurent. lieu le Inndi suivant, Toutes nos ‘sympathies et condolé- ances À ses. vieux parents qui vi- vent encore dans Québec et à tous les membresgde da famille,
-\M, Babineau, de Duck Lake, est
un visite chez ses nurents accompa-
sné de ses trois filles Miles Aurore, fi
Blanche et-Trène. Mme Pfeiffer et sa socur sont. allées passer Ie temps des fêtes à PBelleviie chez leurs parents, 6 L jor unissait'sa destinée à Mie Rose Gilaghan. M le curé officiait. Les témoins, étaient Mme LL. Lavoic ut M, 1. Türcotte, beau-frère du inarié chez qui ils étaicht en visite. tt Mme,
Baptèmes :—M. Arthur
Maver, un fils, baptisé sous le nom }} ide “Jaseph Clovis.Louis. |
Parrain et murale M. ct t. Mine Ls. Chapdelai- ne,
M et Mme Arthur Quésnel, un fils, l Joseph Ge- {|
sous le-nom de Pierre : vard, Parrain et-marraine, Leblanc et Claudia: Leblanc.
Met Miné Carrier,
le non de’ Toseph Henri
3 st" n .
NS in
sympathies à cettc{[i
25. décembre, M. Anatole Ma- ||
Pierre 8
un fils, sôus|£ Albert, | ï | Parraih et marraine, .] M. et Mme A! P'vrira sous peu -un étal de boucher, "E, Chapdelaine, Se
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AC A NL A RNA
. l'abbé: Morneau, Shell River:
T r'Oix + autres" Bienfaiteurs
; Mont. urira. Ù
2%
Pénible: métier que celui du journaliste
paux franchement eutholiques et indépendants, ont une mission bien difficile à rémplir, .
Au service.de Ht-vérité et'de a patrie seules, sans atlache à aucune coterie, à aucun clan, ‘aucun indi- vidu, ils doivent quand mème ess ver de plaire à tontes les classes de a population, à tous les partis.
Plus est étendu le pays que ce journal dessert} plus grandes aussi sont Îles difficultés; elles croissent en mesure même des distances, des cunditions de vie, de «l'atmosphère régionale. |
Les Bienfaiteurs, du “‘Patrio-
Pr ud'homme
savaient que la vérité el ta jus
h récuinpenser léurs cfforts.
plus qu'ils n ‘aiment
1
| te” lie sont imiortelles, et s'ils n'ai-
PR tuaicnt le bic
| Au livre do où le “Palriote"” ius-| leur repos, leur intérêt, leur popu- crit ses abonnés à vie, figurent les larité, plus qu'ils -ne
s'aiment eux- ménies, ,
| Hs. batailitnt dur pour loutes les «uses bonnes; ils donnent le coup
d'épaule à toutes les initiatives Jou-
«bles; ils poussent vers le succès
Mgr Brodeur, P.A. V.G. loutes- les” entr cpriscé généreuses, M, l'abbé M: Desmarais: | mais rarement, un merci qui vien- M, l'abbé ‘Carpentier, St- Luis;
" IL" .Coutu,, Gr avelbourg; STS ne tombent pas à bras rac-
courcis sur Îles libéraux, les con-
servateurs murmurent:s s'ils ne brû- " P, Langlois, Tecumseh, Ont; lent.pas assez d' ° sis ne brû k ent-pas assez d'encens à l'autel des \. Philippe. Mondor, Willow rouges, Ceux-ci les traitent le bleus. xunch: ° Si, ne jugeant les partis politiques . l'abbé l'ortivr, Willow Bunch: qu'au mérite, ils ne prennent ni Achille Chabot, Lac Pelletier; {pour les uns ni pour, les autres, Les À Alphonse, Chabot, Luc Pelle” partisans de toutes couleurs iéur lier: . font la guerre, à M. Osiais Drctes, Vallée, Ste-Clai-|; re: , : Leur journal se prononec-tit con- a“ k h . re "ce : Quatre amis du “Patriote” Lac tre fa brohibition, on le censure; Pelletier; . parie-t-it en sa faveur, on r'accabte M. le ss Pr ul homme, Sl-Boni- de, critiques. Ms en a un, peu lièe. Fo s , partout, qui, parce qu'ils s ‘abonnent rt. à un journal, le cons , . M. En iuCLE Breton, Mont- l S ee Klérent comme marre: Le organe salarié de leurs rancunes, ot le, venge igé du M. Phitippe. Pérrèn;; Mont: ñr- ur obligé des Lorts que re: is autres peuvent avoir à leur égard.
" Pénible métier souvent que celui du journaliste con$ciencieux, relâche à rendre service à ceux-iñ même ‘qui apprécient le moins ses sacrilices. ‘
Notre journal est l'ame de notre
Les rédacteurs ‘du “Palriote”,{survivance, fait un bien dont on. comme d'ailleurs de tous les jour-, ne ‘hiesurema peut-dtre jamais, lé
tendue; il exerce une influence su- périeure à celle qu'on veut bien lui reconnaitre, C'en est assez pour
qu'il se tienne debout dans Ja lut-'
te, et qu'il allume une flamme inex- Uinguible uu cocur de ses rédac- leurs. a C1 : L'oeuvre fondamentale
—“.. Eh! bien, c'est un fait qu'au- “jourd'hui, le peuple chrétien est “trompé, empoisonné, perdu par “les. journaux impies, En vain “vous bâtiriez des églises, vous pré-
Sans:
f
Au
un aspect Lout particulier.
hâte que ‘ça commence.
‘ Jennité dans la ‘voix: qui s'ouvre soit meilleure.
+
“Patriote”
lent. : dé ‘ sù © Dans le “Patriote”,
OPTION LULU Haut DUREE
NOTRE MOT
Le “PATRIOTE” a aux mains de nos enfants
lendemain des vâcances de Noël, le pays presente Les wagons de chemins de fer regorgent d'étudiants; traîneaux et automobiles chargés d'en- fants nombreux se pressent à la porte des écoles Le petits ! même, gavés de sucreries, de gâteaux et de loisirs avaient
SORA TOMATE, CERTES L RTE EURE EL EU
D'ORDRE
s plus
C'est une grande chose, un véritable événement, dans la famille et la paroisse, qué la reprise des classes. Lo
Aux plus âgés, les parents disent avec une certaine so- “Mes enfants, il faut
que d'année
Profitez bien de l’enseignement de vos maîtres, surtout de leurs sages conseils, afin d'être plus tard des hommes et des femmes dont nous serons fiers." aux bambins qui quittent pour la première fois’ le toit pater- nel, la maman, avec une larme au coin de l'oeil, déchirement au coeur, ajoute: être instruits, à votre tour.”
D'ores et déjà l’institutrice dépose en ces âmes ardentes, toutes neuves, la moisson de demain.
5" il y a, Dieu merci, un certain nombre de nos écoles où l'on s'occupe de former en nos enfants des intelligences et des volontés bien catholiques et bien françaises, il en est par malheur beaucoup trop, où l'on ne leur parlera jamais de leur langue qu'il faut aimer, de la foi des anciens, de la dignité de nos pères, de Dieu qui nous donna tout cela, afin que nous bâtissions par toute l'Amérique, une cité de civilisation chré: tienne, d'ordre, de fécondité, de paix. ’
Pourquoi, à leurs heures de loisir au pensionnat ou Îe soir au foyer, ne pas leur mettre entre les mains les pages du Tous les enfants peuvent y lire sans se cacher de Ja surveillance des maîtres ou des parents. le sérieux des responsabilités de la vie se développent très vi te, plus vite que l'on ne croit, au moment où les âmes s'éveil-
Et
et comme ul: “Allons, mes petits; il. faut
Le sens national,
Jes petits et les grands n ‘apprendront jamais que les belles lecons: le respect de soi-même, la chari- té fraternelle, les splendeurs de l'apostolat, la gloire du passé, les raisons de nos éspérances, l'histoire merveilleuse de notre race, les grands modèles, les grands devoirs, les grandes ver-
“chez
“détruits, si vous ne saviez pas “manior en piété tonps l'ame .dé: “fensive el offensive de la presse, “catholique, Tovale et sincère"
NS. S. PRG audience partioulitre at Directeur de “Aa Croid de Li: mouvs”, 1907,
nu suves conan PP Poisson ce sup
Le journal qü'il vous. faut
Si du journal, est la grande coule où le peuple arhôéve son éducation, on comprend que l'Eglise S'alnene et qu'elle cherche à suseiler des or- sunes plus Fermes au point de vue des principes, d'une tenue plus di-
ane el plus franchement chrétien be, Avec utic insistance ol une 6:
nergie qui ne l'ont que grandir, elle reconinande conie reméde In fon- dution et legtretien de fournaux nellumenl catholiques, Son d'ordre n
Aujourd'hui est jétonné de journaux enfholi ques, depuis Les côtes de FAeadie jusqu'aus plaines de FAlberla, Mais nelre pouple n'a pas encore saisi le dôle de Br presse: catholique et SON fmportuines capitale, C'est ue ne lacune regrettable dans su for. mation cl qu'il s'agit de combler, Ca le jour où il aura compris la nécessité, au point de vue religious cl national d'une presse propre, honnéles et erânenient chrétienne: du jour où il cessera de regarder le journal conune un simple res cueil d'annonces el de potins, a lors, ce peuple qui ouvre si {neilee tent st bourse aux ovuvres de cute Le, d'édueation et de charité, n'hé Silera pas à remplir envers la prese se catholique uu-devoir qui vst con- sidéré conne de plus grave de l'heure tetuelle,
cie Le
.mot nous,
entendu Canada
+ mn 2 es
DR - Vous avez l'âme que vous fai votre journal
La génération actuelle 4 un vor-i veau de papier: elle ne prend ni la veine ui le temps de réfléchie pur ctle-méme, elle pense et pagle come me le journal |.
sus de senti el mème d'aimer, Hi vien
manières de voir, de juger i
paré, tout assaisonné au goût du jour, facile à s'assimiter, et que lon vapérienee, Mithri-
longue he
absorbe, après inpuñément, conne
date |
let
L
Pour comble de séduetion, on le lui sèrt, non COIRC UN, pal oblinn- Loire, ti dis eomme noms délicieux qui se nisse avaler fout seul si on veut bien ui faire cel honneur, Pour les moins, affamés, on se con- lente d'en réjouir Pocil par une dis- position savante des eounlenrs, des mots el des titres affriolanis.
Lofsque le papier maius propres, à lt
a passé par'des bonne honte! Mais quad ion été tripoté par
des mains saules, quel corruplenr subit, d'autant plus adroit qu'il pa- eait plus inoffensif. Cur le journal, ne fait que suggérer il ne s'impose junais,
journal se
tout savoirs
Bons on nintvuis, le joue de notre avidité de de out interpréter, de tout juger Cest lui, aujourd'hui, plus qu'mr- lrefois Be erainte des Hicleurs où le louct des janissaires, qui gagne Les faveurs des foules diles d'hontmes libres, :
C'est que, dans ve tôleaitète le plus intime de lous, Le lectéur, lui ivre sans méfiance son intelligen- ce, son cocur, sa volonté,
Le journal est un pétrisseur d'a- mess dé matitre prentiège varic so- lon a valeur morale de ses prinei pes, de ses idéalé.
le bon journal De ste et aite pour sauver l'intolli- sunce française des ravages de In mauvaise press Mais s'inquiète. où de lul assurer son avenir? Que failcon pour soutenir ses chefs, ses ateliers, pour alimenter ses sour- ces de survie Nous savons udini: rablement Br charité des eorps el hos oeuvres indigènes en 6e poil alirent l'admiration de l'étranger mais, quand niis quaud apprene drons-nous 4 sauvegarder, par les Secrets de Bi eharité intellectuelle nos plis riches qualités nationales, lomesure dans He poûl, fu droijure du En pensée, el fx hauteur de line
EL ecpendant,
22
fl û
“L'avez-v0uns cru que. celle vie fut lu-vie ?”’ LACORDAIRE,
Muis devant elle, ni gène, ni cnbarras:
ic ‘n’éprouvais ‘Au contrai- cafnic el si pur répandait ‘dans môn coeur je ne sais quelle délicicuse sérénité,
Qui, je suis beurcuse d'avoir “été li. J'en ai emorté “une force, une lumière, un parfum, j'espère Y tt voir compris le büt dé la vie.’ Dans cette chère église, “dev ant la croix sanglante qui domine le tabernacle, pal accepté ma vice: telle qu'elle ést, jai promis d’accoinplir . le grand vonmmandement ‘de Pamour: 0 eber asile de, la prière ‘et della paix!
ocuvre, et l'on sent Ja téistesse par- tout. fonde s’y. mêle. |
Et pourquoi, duns mon caline fu- nèbre, n'aurais-jc pas aussi de la sérénité, ‘
Je me disais cela, ct, la tête ca- chée dans mes mains, je pensais à cet adieu qu’il faut finir par dire à tout—à ce grand . et languissant : adieu comme parle saint François
de Sales. -" —
-Puisqu’il faut
re, son regard si
mourir, -ce sont; les heureux qu ‘il faut plaindre,
(laurice Darville à Angéline de
Cest avec regret que j'ai. quit- . Montbrun) lôvma chambre où d’ autres s: âmes n faibles sont venues chercher la for-: ce—où la Fleur ‘du carmel à pas- “&—Là, je n’entendais rien que ‘le murmure de lYamaska coulant tout auprès. Ce bruit: mélancoli- | que me fournissait- aille. pensées lrisles et doucès, 7.
‘ Ainsi'vous persislez à vous te- nir renfermée, à refuser de me re cevoir, et pour vous, je ne suis plus; qu'un él'anger, qu'un imporlun.
Angéline, cela se peut-il ‘
O ma toujours aimée, j'aurais dü : ‘êci arter-vos, domestiques ct entrer chez vous malgré vos ordres, Mais je ne viens pas vous faire des re- proches. Je viens, vous suppliér d’avoir pitié de moi. Si vous si- viez conune, il est amer” de se mé- priser soi- même Lo
.0. ma. pauvre enfant, votre ima: ge “vicht ie ressaisir partout, vo- tre vie si triste nvest un remords continuël, . :
Et. «pourtant suis-je ° coupable
Les vagues de 11 mér s'éloignent pour revaiir ‘bientôt, mais les eaux d’une rivière ‘sont comme le temps qui passe ct ne revient: ja- mais,
| ‘ ‘
6 oveinbre.
“Malheur à qui Hisse son. amour S ‘égarer el croupir. dans * ‘ce. monde qui passe; éar lors kC tout à l'heu- re il sera passé, :qué restera-t-il ‘à cette âme niisérable, qu'un vide in- fini, et. dans- une. “éternelle sépa-
té mon coeur au visage ? à 5
< “ 2 éternel rates "ee Impuissance .quer à .ma parole. Oui, vous ma- a. u LE “Re vez. réduit à cetle abjeétion: Mais at , 7. sidvéinbre. sur” -1hon honneur,’ je. n'aurai de Le [mais d'autre ‘femme :que, vous.
:
l'ai passé l'après-midi
entrée *Ah! soyez en sûre, oh ne se don-
. du bois. . Le. -oleil-, dor ait ne pas deux fois’ avec. ce qu'il Y a * champs dépouillés, - ire aritions. |. -de plus. tendre’ et dé plus profond chantaient dans: ‘herbe: Alétrie | ‘dans mion âme, QOtt plutôt, quand. on loutefois Path À bien. fait: ‘son ü. ré re prend |
s’est donié ainsi, où nike
Il à Mina,
\! confiance,
Mais quelle sérénité pro- |
‘
9
est-ce ma faute. si vous m° avez je” prouve votre résolution ?.
‘Angéline, ‘vous m'avez fait Tuant-
Les. rédactéurs, soucieux avant) “cherñicz des missions, vous fonde- Ë lus: , tout du bien général, trouveraient |“ricz des écoles: toutes vos bonnes Ë . vite leur besog she surhumaine, s'ils “oeuvres, tous vos efforts seraient ann, [° . A ‘ s°
= plus jamais. su refroidir, au fond du jy a bien des
Si Mon COCUT à parti Ma pauvre enfant, cocur de l'homme il imisères, nHtis par-
DE dun, pardon pour l'amour de Jui
qui m’aimail, qui n'avait choisi, Î Quoi !ue sauriez-vous pardon- Doer un tort involontaire ? Ah! vous lavez bien oublié la promesse faite cette solennelle promesse ide m'aimer toujours: ct de me ren- dre heurcux, h
Si vous saviez ce que” j" ai soul- fert depuis le soir terrible de no-
ditre séparation ! Oh !'eumment a Avez-vous pu n'humilier ainsi ?
Suis-je donc si viléà vos yeux ? Mon Dieu ! qui nous rendra a ce bien unique en sa | douceur ? + Vdus dites que vous wacceplerez javais un sacrifice. Jn sacrifice... ! Angéline, il est une chose que je | voudrais taire à jaunuis. Mais puis- | que vous me forcez d'en parler, je I vais le faire, Tôl où lard, vous le savez, on ne jouit plus que des âmes, ‘Et d'ailleurs, les traces de ce mal cruel vont s'effaçant cha- que jour, Tout le monde le dit FE cit pouvéz-vous lignorer ? , Î Mon amie, c’est moi qui vous ? conjure.: d’avoir pilié de ma vie si triste, de mon avenir désolé. Que deviendrai-je si vous m’abandon- 1 ? Us | seul je suis cet seul je. surui: vous Pavoue, je suis au times forces. La tristesse est une mauvaise conseillère, et j'entrevois des abîmes. Angéline, votre coeut est-il donc tout entier dans son cer- cucil ? … Li Non, ma chère orpheline, je ne vous reproche. ni l'excès, ni la du- ré de vos regrels. Sait-on com- bien dé temps une grande douleur doit durer ? Mais “votre douleur, jé la comprends, je la partage. Vous le savez, el vous ren pouvez 1 douter. | Mon Dieu, que n ai-je pensé à ‘| vous faire ordonner de ne pas dif- l'férer notre mariage ! Le malheur a voulu que'’ni lui ni moi n’y ayons songé, Mais croyez-Vous qu’il ap-
l î
je
Angéline, c'est moi qui vous em-
son corps, © Dieu | de quel amour je vous ‘aimais, ‘et: ‘combien - ja souffert de cdte horrible inpuis- sance à vous consoler.
Mais aujourd’hui, ne puis- je : rien?| Jesxvous'asure que je ne voûs:
vous arracha. i à la môrt;. et je! vous en. supplie, par Ja fraternité: de n6ô$
oi
bout de!
portai comme niorte d'auprès @e-
mais ‘pas plus quand:mon amour
AU EE RARE ERA
4 0
krines, ; par célle divine espérance
que nous avons de Je revoir, con- sentez à mentengre. Oh ! ais. Sez-moi vous Voir | laisser-moi vous parler ! Pourriez-vous refuser toit jours de nradimeltre chez vous, dans sa maison à lui, qui te non. mail sou Jils ?
suis lcrimur
La nuit dernière, je
longlenps appuyé sur du
jardin. Je vous avoue que je finis par m'v glisser, Une fois entré, d'en is le tour,
La, froide clarté, du ciel nv mon uit tout hier Uriste, bien désolé. Un vent glacé chassuit fes feuilles flétries. Mais de passé était à, el qui pourrait dire Ja Aristesse et Bt douceur de nes pPÉnSÉCS !
D'abord, li'maison m'avail ph- ru dans une obsceurité complète, mais en approchint je vis qu'une faible luniére passait entre les vo-
lets de votre chambre O0 chère lumière ! longtemps je restai à la
À regarder.
Angéline, ki vie ne doit pas ètre une veille troublée. Non, vous ne sauunricz persévérer dans une EONTE füution pareille, et bic ntÔE, comme Mina disait: Le su du Christ nous uniru. pris la force et Ja süavité ‘de cette union ? Doulez-vous"que dans son sang nous ne trouvions avec mortalité de Pamour, les joies pro- fondes du mutuel pardon.
Non, vous n'aurez pas ee triste courage de me renvoyer dése spéré, Pai foi en volre coeur si tendre, si profond. . ;
Vôtre, à jamais,
L - Mauriee, CAngéline de Moutbrun & Maurice Dar ville). $
Maui ice, pardonnez-moi.
- Cette résolution de ne-pas vous recevoir, Vous pouvez ie da J'en- dre: encore plus .difficile, encore pius douloureuse à tenir, mais VOUS ne la changer pas, L :
.Et-faut-il vous, dire. .que de res- sentiment n'y est pour rien,
Cher ami, je n’en cus jumuis cop | tre vous. Non, vous : n'avez Das trompé sa noble éonfiance, non, "vous avez pas manqué à parole, et moi’ aussi je Hendrai Bi
mienne. : Mais croyez-moi, ce n est pas a-
déjà éprouvé le: néant, que “vous * l'remplirièz le vide de votre coeur et ‘de vos jours. E
Je le dis sans: “reproche. O mon Joyal, je n'ai rien, absolument ; rien
te
‘à vous. pardonner." v
4
rest |
pas voulu qu'elle fut sans conso:
[ieis el une forec range He repor- Chrétienne, AVEZ-VOUS COM {Le à ce moment 6Ù mon père mou-
Pine répétailil,
votre
vec un sentiment dont vous avez
Elle y
A Tan GT EE
Pourquoi HUAVEZ- VOUS aimée Pourquoi ai-je lanl'assombri votre jeunesse 9 EL pourtant, notts avons été heureux ensemble, Vous rap pelez-vous comme ba vie nous ap: paraissait beile 9 Mais il n'est pits de uin qui prenne l'ombre, nr qui garde l'onde, Mon cher ni, nous lavions bien oublié. Dites-imoi, si cel enchante ment de l'amour et du houber se I continué, que surions-nous de.
venus ? Gomment aurions-Hous pH "nous
résigner à mourir ? Mais le prestige est vitgdissipé cl nous sit- vons nurintenemt que la vie est une douleur,
Sans doule, Ja bonté divine n'a falions, el nos pauvres tundresses restent le meilleur adoucissement à nos peines. Mais nuË ne choisi Sa voie"el les adoucissenients ne sont pas pour moi,
Non, si le Dieu de toute bonté nova fait passer par de si cruetles douleurs, ce n'est pas pour que ju me reprenne aux affections CE RUx joies de ée monde, Je le vois clairement depuis que je vous suis
Sant in attira à Jui, après sa commu nion supréme: “AMOUrS sauveur,
serrant faiblement ma tête contre st poitrine, Amour Sauveur, je vous la donne, O Sei- gnour Jésus, prenez-la, O Seigneur Jésus, consolez-la, fortificz-H Et à cette heure d'agonie, une foree, uns douceur surnaturelte se répan- dit en ‘mon fme, Toutes mes ré. volles se fondirent en adoralions. Pacceptai Ja séparation, Je me prosternai devant la croix el, je
la reeus comme des mains du Christ lui-même, Et aujourdhui encore, il me la présente Je vois Ft
ebje sens qu'il me demande ke re noncement complet, que fé dois être à Qui seul . To.
Maurice, c’est Lui, qui a lout conduit, c'est sa volonté qui nous sépare. Cette parole, mon père me Pa dilé à Pheure du son ungois” se, el je vous la répète. Ah ! j'ai bien senti ma faiblesse. , '
Etre désillusionnée ce n'est pus ëbre détachée. Mon ami, vous le savez, Parbre -dépouillé tient {ou- jours à la terre, |
‘Oh ! comme, nous sommes faits ! mais Ja volonté divine donne la force des sacrifices qu'elle com- mande. Je vous prie, ne vous met- tez pas en'‘peinc de mon avenir «C'est à Dieu d’en disposer: : le bon-|
Jeu. et HT, tristesse m'ont bic dé-
dl
| nent tout droit ses périodiques,
re nee
Louve un aliment tout pré
bilitée; iais Si je suis eptir seine si je suis fidèle, avant qu'il soit ‘longtemps, j'aurai Ja
pur. À
EE vous aussi vous SUrUZ bientél consolt, | l'ourquoi pleurer ? de bone de di ferre, d'en connaissous-nous pas de panvrelé, mènte quand nous! pourrions l'avoir dans sa rielessst ce qui d'est pas Non, le rève enchanté ne saurait se reprendre fl ,pouetnnt que Be vie avec vors Me sers dotice encore ! Malyré le Lrouble de ‘non covur, ce m'est une joie profonde que vous soxez | venu, Le sentinent que vous me conserver, por moi, e’eslune fleur
: , |
sur des ruines, c'est un celhio at-| n , , È tendrissant du passé, Le passé D] Vous rappelez-vous cette roman. LS ce que vous chantiez sur Le sou |
venir, qui West rien et qui est tout? Ah ft quoi qu'il arrive, n'oubliez pas. Et sovez béni de ve que vous avez fait pour ui. Jan 1is je nou. blierai avec quel respect VOUS AWC4. porté son deuil, ni vos regrets Si vifs, si sincères, ON, eornme ous &liez bon ! eomme vous étiez ton dre Je le sais, vous Je seriez etre
tetisenee I À
Notre prochain
Un.
Feuilleton
Les lecteurs o6t foctrices qi ont suivi de puésent feuilleton de cet abnable ceriviain qu'est Lars C0 nan, auront souvent fé Hppression nés el édifiés par Les nobles sen linients chrétiens des différents Dersonnages,
Noits titons à croire que cette lecture for aita Fait du bien.
Pour notre prochain feuilleton qui eonuneteera au prochaitr nt HÔPO, NOUS PÉSOPVONS À Dos lee lcurs duslenre chose 4e imieus en:
core, ’est Phistoire de Paseo: sion d’ nn fine vers Dieu écrite par oleaème, d'une cñme que PE.
glise proc le ie bicnheureuse et qui set canonisée cette année méme Vous nos léctoits connaissent déji sans doute eelle petite, sudnte, evtte pelile “four de Jésus", Tous n'ont pas du Phistoire de su vie et nous pensons leur Taire plaisir en La pure bliantier Ce sera clique : SOIALHC une loeture qu'il sernil trés ubilr de Faire en famille et qui intéres. sey'i tout Le monde, les enfants as
si bien que Hs urinntes Personnes, un DIGtne Lenips qu'elle portera les dnies à jus de gonfiunce on Bien et à plus d'aour.
éore. Mais il en est qui n'arrivent On voudra lire chaque sauuine du ciel qu'eusanglantés, et ceux Sins X EE ce récit tout mile
eo intéressent pt exfrémenen n'ont pas droit-de se plaire, Glort ere ,
Je vous donne 4 FGsus- Christ qui seul nous aile comme nous avons besoin d'être imés,
arfout 61 Sins cesse, je Le privrai pour vous,
Et puisqu'il faut le dire, adieu, mon cher, on intimement cher, adieu !